1. Paris au mois d'août, un magasin vide


    Datte: 17/11/2018, Catégories: fff, rousseurs, inconnu, fépilée, magasin, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, strip, nopéné, init, Auteur: Chlo, Source: Revebebe

    ... mon sein, et jusqu’à mon téton tendu quand j’accentue intentionnellement ma torsion. Satisfaite de mon essayage et de plus en plus excitée par mes petites provocations et ces jeux de regards, je lance un « J’achète ! » à haute voix, qui lui est destiné sans l’être. Elle me renvoie un sourire approbateur et envieux, ses joues roses ne pouvant masquer son émotion. Elles me plaisent définitivement beaucoup, cette candeur, cette gêne, cette peau diaphane.
    
    Elle regarde de nouveau ma culotte posée sur le banc, humide ; je me surprends une nouvelle fois à lui montrer que j’ai remarqué son intérêt en me fendant d’un sourire complice alors que je rentre dans la cabine. À nouveau, je ne tire pas le rideau qui est encore plus ouvert que tout à l’heure. Sauf que cette fois, elle seule peut me voir. Je lui tourne le dos pour remettre mes cheveux dans la glace. La chaleur m’envahit de plus en plus, je sens que mon sexe est littéralement trempé, plus qu’excitée par les yeux que ma jolie voyeuse pose sur moi.
    
    Oserais-je aller plus loin ? Si j’ai déjà eu des expériences avec une fille, j’ai toujours été foncièrement plus attirée par les hommes ; mais là, maintenant, je prends goût à ces jeux et découvre un vrai plaisir à me dévoiler à elle tout en restant cachée dans cet endroit qui reste de passage. La copine de la fille rousse revient, je l’entends arriver au bout du couloir. La fille rousse s’écarte pour qu’elle puisse poser ses nouvelles trouvailles, tout en cachant l’ouverture de ...
    ... ma cabine, sûrement gênée que sa copine comprenne ce qui se trame depuis cinq minutes. Sont-elles ensemble ? Je dirais que non ; elles sont à l’âge où l’identité sexuelle n’est pas encore affirmée, les préférences sexuelles encore difficiles à assumer. Elle tire le rideau pour recommencer les essayages. La rousse recule de l’autre côté du couloir, contre la cabine en face de la mienne, si bien qu’elle est maintenant aux premières loges pour me regarder, de façon discrète puisqu’elle n’a même plus à tourner la tête.
    
    Son regard est plus franc et n’hésite pas à se poser sur moi, même quand je relève la tête pour le voir dans la glace. Mais toujours ses joues roses, ses pieds qui se croisent, timides. Je me surprends à imaginer l’effet que je peux lui faire, et sa culotte qui peut-être elle aussi porte les signes de son excitation. Je me décale un peu sur le côté pour qu’elle me voie entièrement, toujours dos à elle devant la glace. J’hésite, ma raison me disant que j’ai déjà été trop loin, indécise quant à la suite à donner. Mes pensées se troublent, je m’aperçois que j’ai la chair de poule. J’attrape ma culotte, mais ne la remets pas de suite. Je sens ses yeux qui suivent mes moindres gestes et mouvements.
    
    L’excitation m’envahit de plus belle ; je vais oser, je ne peux faire autrement. Je repose la culotte sur le banc. J’entends un frémissement dans mon dos. Le rideau à côté s’ouvre, la copine présente sa nouvelle tenue. « Pas terrible… » dit la rousse qui a du mal à se ...
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