Paris au mois d'août, un magasin vide
Datte: 17/11/2018,
Catégories:
fff,
rousseurs,
inconnu,
fépilée,
magasin,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
strip,
nopéné,
init,
Auteur: Chlo, Source: Revebebe
... provoque en moi une nouvelle montée d’excitation. Je me regarde encore quelques instants dans la glace de la cabine, puis je dégrafe mon soutien-gorge et tente tant bien que mal de le faire sortir de la robe. Elles me fixent maintenant sans en avoir l’air mais sans se cacher, probablement enhardies par le rideau laissé à moitié ouvert. Elles n’ont donc rien perdu quand une bretelle de la robe est tombée lors de mes contorsions, laissant apparaître mon sein droit nu et son téton fièrement dressé. Bretelle que j’ai remise sans précipitation, en faisant mine de ne pas voir les regards posés sur moi. J’entreprends maintenant d’enlever mon boxer, ce que j’arrive à faire sans – malheureusement, me surpris-je à penser – à avoir à remonter entièrement la robe. Je pose la culotte sur le banc à côté du soutien-gorge et ressors de la cabine l’air de rien, même si j’ai l’impression que mon excitation peut se lire sur mon visage.
Je tombe face à la femme au jean, qui est à présent depuis cinq minutes dans sa cabine sans rien essayer, faisant semblant d’hésiter sur les vêtements essayés, toujours en culotte. Alors que je me regarde de nouveau dans le miroir du couloir, je vois la fille rousse, les yeux scotchés dans ma cabine. Je me décale pour voir et comprends son trouble ; elle fixe ma culotte jetée négligemment sur le banc : on voit, avec les reflets des spots, qu’elle est trempée. Elle sort de sa bulle et relève la tête ; nous nous regardons dans le miroir. Elle rougit encore, mais ...
... cette fois je peux lire une pointe d’excitation dans son regard. Elle se retourne vivement quand sa copine ouvre les rideaux. Elle est plus petite, un peu ronde et porte une des jupes qu’elle vient d’essayer. Elle lui dit de garder la cabine pendant qu’elle va chercher un haut assorti et s’éloigne dans le couloir, après lui avoir demandé à quoi elle pensait, la trouvant « dans la lune ».
Toujours personne dans les autres cabines ; nous voilà encore plus seules. Arrive alors une vendeuse qui passe ramasser les vêtements laissés dans les cabines. Je m’observe toujours dans la glace : cette fois, plus aucune marque de sous-vêtements ; cette robe est comme une seconde peau. Sûrement à cause de la venue de la vendeuse, la femme au jean s’est rhabillée ; elle ne garde finalement aucun vêtement et lui rend tout. Après plusieurs hésitations et des regards plus ou moins appuyés dans ma direction, elle s’éloigne, comme à contrecœur, précédant la vendeuse. Un dernier regard en tournant au bout du couloir et elle disparaît.
Me voilà maintenant seule avec la fille rousse, ce qui n’est pas pour me déplaire. Elle est toujours appuyée contre le montant de la cabine à côté de la mienne. Elle n’ose pas se tourner entièrement vers moi mais j’aperçois ses regards furtifs de plus en plus fréquents, qui après s’être posés longuement sur mes fesses plongent maintenant dans l’ouverture de mon décolleté. Lorsque je tourne mon bassin, la robe s’ouvre, et de biais, elle peut apercevoir le pli de ...