1. Paris au mois d'août, un magasin vide


    Datte: 17/11/2018, Catégories: fff, rousseurs, inconnu, fépilée, magasin, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, strip, nopéné, init, Auteur: Chlo, Source: Revebebe

    Maquillage léger, robe noire assez stricte, petites sandales, mon sac à main et me voilà partie. DirectionZara, rue de Rennes ; j’ai choisi d’y aller en bus.
    
    31 ans ; je suis brune aux cheveux courts avec de grands yeux verts pétillants. 1,67 m, fine, la taille marquée avec un joli cul rebondi et de petits seins, avec en plus le teint hâlé par mes vacances bronzette sauvage dans les dunes cet été. Je ne passe pas inaperçue et, durant le trajet, sens plusieurs fois des regards posés sur moi.
    
    Je descends du bus ; il fait beau, je me sens libre en cette belle journée d’été, reposée et épanouie après une semaine de farniente dans le Sud.
    
    Arrivée dans le magasin, je fouille à la recherche de nouveautés, fouine dans les allées. En dix minutes, je déniche deux petits hauts, un chemisier blanc ajusté et une robe blanche légère.
    
    Il y a peu de monde dans le magasin et donc pas d’attente aux cabines d’essayage, ce qui est plus que rare. Un des bonheurs de Paris déserté au mois d’août. En longeant le couloir de cabines presque toutes vides, j’aperçois une fille en sous-vêtements rouges au moment où sa copine, une jolie rousse à la peau très blanche, entrouvre le rideau pour donner son avis. Elles doivent toutes les deux avoir tout juste 20 ans. Alors que je m’avance tranquillement, mes yeux s’attardent sur la jolie rousse.
    
    Elle doit faire la même taille que moi mais est beaucoup plus mince, un peu trop je trouve. Habillée à la cool avec un tee-shirt gris, un short en ...
    ... jean et des escarpins en toile. Je lui trouve quelque chose de particulier, sans savoir dire ce qui retient mon attention. Ses yeux bleus peut-être. Ou ses longs cheveux roux qui contrastent avec sa peau blanche parsemée de taches de rousseur. Même si, définitivement hétéro, j’ai toujours aimé regarder les femmes et en apprécier la beauté. Chose qu’aujourd’hui j’assume complètement, ce qui ne manque pas d’amuser mes amis hommes, toujours surpris de m’entendre commenter la plastique des femmes de passage lorsqu’on est posé en terrasse.
    
    Au fond du couloir, une femme essaie un jean. Elle doit avoir 45-50 ans, brune, allure très BCBG, voire aristo ; elle se regarde en se tournant pour évaluer l’effet de sa trouvaille dans le miroir au fond du couloir. Effet mouton ou choix dicté par mon inconscient, j’avance dans le couloir et prends la cabine tout au fond, à côté du miroir et de celle des deux jeunes filles.
    
    En fermant le rideau, je me retrouve face à la femme au jean ; je lui souris et me surprends à lui dire que ça lui va très bien. Je suis décidément de bonne humeur aujourd’hui, ou alors est-ce le sentiment de complicité d’être dans un magasin vide alors que les cabines sont d’habitude prises d’assaut. Elle a l’air surpris mais apprécie, me sourit en retour, puis rentre dans la cabine en face. Je ferme le rideau qui, comme d’habitude, ne plaque pas partout et laisse une ouverture sur les côtés. Côté couloir, je peux voir le dos de la jeune fille rousse qui attend son amie ...
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