1. Paris au mois d'août, un magasin vide


    Datte: 17/11/2018, Catégories: fff, rousseurs, inconnu, fépilée, magasin, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, strip, nopéné, init, Auteur: Chlo, Source: Revebebe

    ... concentrer, ce que remarque sa copine qui lui demande une nouvelle fois où elle est. Le rideau se referme ; son regard retourne instantanément sur moi. Je lui tourne toujours le dos et cette fois c’est moi qui lui jette des coups d’œil furtifs dans la glace, n’osant croiser son regard… J’ai l’impression de ne plus être maîtresse de mes gestes. Alors que mon esprit, ma raison, me crient de reprendre le contrôle de moi, lentement mes mains se mettent à bouger d’elles-mêmes. Je fais glisser une bretelle de la robe, découvrant mon épaule nue et la naissance de mon sein. Elle tombe un peu plus bas, découvrant entièrement mon sein droit ; ses yeux se posent instantanément sur le reflet de mon sein dans la glace. Je ne bouge pas, les secondes sont des minutes. J’ai presque peur mais suis incapable de me reprendre.
    
    Les rôles sont complètement inversés : je n’ose plus la regarder alors qu’elle ne baisse plus les yeux et que je sens son regard direct sur moi. Mue par des envies que je ne me connais pas, je continue malgré tout. Je fais glisser la bretelle gauche de la main droite. Une nouvelle fois, celle-ci descend doucement, puis tombe. Je dégage mes mains ; la robe s’arrête sur mes hanches. Je suis debout, seins nus face à la glace, mes tétons toujours aussi durs pointent au maximum. Soumise à son regard, je peux la voir derrière moi. Elle ne perd rien du spectacle que je joue pour elle, examinant tour à tour mon dos, mes fesses moulées dans ma robe, ma poitrine et mon ventre ...
    ... dans le miroir. Le bruit du rideau qui s’ouvre d’un coup sec me fait presque sursauter, mais pourtant je n’ai pas bougé ; je reste immobile, debout, à demi-nue, sans réaction, retenant mon souffle. Les yeux derrière moi se sont à nouveau détournés pour regarder dans la cabine d’à côté ; comme si rien ne s’était passé, ne se passait ; petite moue, voix douce qui exprime son hésitation face à la nouvelle tenue présentée, puis propose plutôt un assortiment jupe-chemisier.
    
    Aurais-je été capable de me cacher si sa copine était sortie ? Je ne crois pas. Après quelques secondes, le rideau glisse pour se refermer. En levant les yeux dans la glace, j’aperçois presque avec soulagement que les siens fixent de nouveau mon reflet de face. Je ne bouge toujours pas, comme si j’attendais un signe de sa part. Ce mélange si puissant de peur et d’excitation me paralyse. Alors que je croyais mener la danse depuis le début, j’ai perdu toute l’assurance qui m’avait fait engager ce petit jeu ; j’ai l’impression que ses yeux me transpercent, que je suis à leur merci, qu’en fait c’est elle seule qui décide de mes mouvements. À côté de ça, mon excitation est à son comble ; j’ai l’impression que la cyprine va couler le long de ma jambe.
    
    Ses yeux que je vois maintenant si sûrs d’eux plongent droit dans les miens, je ne peux plus soutenir son regard. Puis ils descendent lentement sur mon corps, comme un ordre de continuer, d’aller plus loin. Soumise. Trempée. Je ne peux que leur obéir. Je bouge enfin. ...
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