1. La vengeance d'une femme trompée


    Datte: 17/11/2018, Catégories: fh, cocus, inconnu, vengeance, strip, intermast, pénétratio, occasion, Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe

    ... idée. On sait comme il est difficile d’offrir des fleurs à une inconnue et pour moi cela a toujours été une épreuve. En définitive, je me décidai pour une composition où l’on trouvait un fouillis de fleurs de toutes sortes aux tons variés. Deux minutes plus tard, chargé de mon encombrant bouquet et de ma bouteille de champagne, je sonnai à l’interphone.
    
    — C’est Olivier.
    — Je t’ouvre, me répondit Fabrice. C’est au troisième.
    
    Entrant dans le hall de l’immeuble, je trouvai un peu plus loin un ascenseur d’un autre âge dans lequel je tentai de monter en me frayant un passage entre deux portillons vitrés au bois défraîchi, que de puissants ressorts maintenaient fermés. En se rabattant violemment derrière moi, ils furent à deux doigts d’écraser mon bouquet.« Saloperie d’ascenseur ! », grommelai-je. La cabine bringuebalante menaçait de rompre à chaque instant et me fit penser à cette séquence du « Père Noël est une ordure » où Madame Musquin s’était trouvée coincée dans une cabine en tout point semblable à la mienne. Enfin, par miracle, je parvins tout de même au troisième.« Comment peut-on laisser encore un pareil engin en service ? pensai-je.Il ne doit sûrement pas être aux normes ! »
    
    Fabrice m’ouvrit et m’accueillit chaleureusement en me tendant la main.
    
    — Bonsoir Olivier… Entre… et bienvenue à la maison.
    
    Après avoir passé une étroite entrée, on débouchait dans une grande pièce qui tenait lieu de salle à manger et de salon. La décoration était moderne et sobre, ...
    ... plutôt dans les tons clairs. En entrant, le regard était immédiatement attiré par une immense photo en noir et blanc qui occupait presque tout un panneau et qui représentait le pont de Brooklyn vu de nuit.
    
    Je tendis ma bouteille à Fabrice quand apparut, sortant de derrière une porte, une jeune femme d’une trentaine d’années, aux longs cheveux châtains, que je trouvai de prime abord assez jolie, mais sans plus.
    
    — Karine, ma femme, me dit Fabrice.
    
    Alors que je tendais la main à la nouvelle venue, Fabrice intervint :
    
    — Allons. Faites-vous la bise, pas de cérémonie.
    
    Approchant mes lèvres des joues de Karine, je découvris alors son parfum, enivrant et captivant à la fois. Bien que je la trouvasse d’une beauté assez quelconque, je fus néanmoins troublé par elle à ce moment-là.
    
    — Laissez-moi vous débarrasser, me dit-elle en prenant mon bouquet… Mais vous êtes fou, il ne fallait pas… Elles sont superbes et je vais de suite les mettre dans un vase.
    — Installe-toi dans le canapé, me dit Fabrice.
    
    Un coin salon avait été aménagé avec un grand canapé d’angle devant lequel venait se serrer une table basse.
    
    — Alors, comment ça va aujourd’hui ? continua-t-il. Tu remontes bien la pente, je crois.
    — Oui, enfin je commence à y voir plus clair.
    — Bon, très bien. Si tu as besoin de quoi que ce soit, n’hésite surtout pas.
    — Je te remercie. Ta gentillesse me touche. Mais ça devrait aller maintenant.
    
    Karine réapparut avec un vase dans lequel elle avait disposé mon bouquet ...
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