1. La vengeance d'une femme trompée


    Datte: 17/11/2018, Catégories: fh, cocus, inconnu, vengeance, strip, intermast, pénétratio, occasion, Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe

    ... ainsi une route royale pour draguer sa femme.
    
    — Oh, « Say you, say me » ! dit-elle alors que débutait une autre plage musicale. J’adore Lionel Richie.
    — Je vous propose de danser si vous le voulez.
    
    Elle fit une moue un peu trop forcée pour être crédible :
    
    — Mouais… ! Alors ce sera pour Lionel Richie… Et à condition que vous vous teniez bien.
    — Je vous promets de ne pas dépasser la limite de vos désirs, belle Karine, lui répondis-je en lui tendant la main.
    — Mais je n’ai aucun désir, dit-elle, toujours plus mutine.
    
    Cette seconde danse se révéla pourtant beaucoup plus chaude que la précédente. Je repris mes caresses dans son dos, tandis que ma main gauche reprit l’exploration de ses fesses. Elle, toujours suspendue à mon cou, se frottait de plus en plus ostensiblement à moi, sa jambe venant parfois s’immiscer entre les miennes.
    
    Puis à un moment, elle me regarda dans les yeux et me déclara tout de go :
    
    — Embrassez-moi, Olivier.
    
    Je ne me fis pas prier et la seconde d’après nos langues s’entremêlèrent. La sienne était particulièrement agressive, forçant la barrière de mes dents, elle venait effrontément balayer ma bouche. Simultanément, elle se serra plus fort encore à moi.« Cette fille a vraiment un tempérament de feu » pensai-je. Fou d’excitation, je sentais mon sexe bandé à l’extrême, quant à elle, faisant onduler son bassin pour mieux se frotter à moi, elle jouait pleinement le rôle de la petite vicieuse.
    
    Après notre baiser, nous nous serrâmes très ...
    ... fort. La musique de Lionel Richie avait cessé et nous ne dansions plus. Debout au milieu de la pièce, nous étions comme soudés l’un à l’autre. Je la pris alors de mes deux mains par les fesses, que je malaxai avec énergie. Puis, je relevai sa robe jusqu’à ce que je sentisse le contact de son string, un petit string qui semblait se perdre dans la raie de ses fesses. Mes caresses sur son petit cul, désormais nu, devenaient de plus en plus indécentes, mais Karine ne s’en offusqua pas, bien au contraire, elle se cambra pour mieux les apprécier.
    
    — Tu a l’air d’aimer ça, hein ! lui soufflai-je à l’oreille.
    — Ne me tutoyez pas, je vous prie. Je trouve cela vulgaire, me dit-elle… C’est tellement plus excitant de se vouvoyer !
    — Pardonnez-moi… Vous aimez mes caresses, n’est-ce pas Karine ?
    — Qui vous dit que j’aime ça ? Vous me forcez et je suis bien obligée de vous laisser faire.
    — Menteuse ! Je me doutais que vous n’étiez pas une ingénue, mais je découvre maintenant que vous êtes en fait une petite salope !
    
    Le mot m’avait échappé et je regrettais déjà de l’avoir prononcé. J’étais certain que Karine allait me planter là, ou même me gifler pour mon incorrection. À mon plus grand étonnement, sa réaction fut tout opposée. Se faisant chatte, elle se colla encore plus fort à moi :
    
    — Oh oui. Dites-moi des mots crus. Ça m’excite !
    — C’est vrai ?…
    — Il n’y a rien qui m’excite plus…
    — Non ! Et si je vous dis que vous êtes une vraie petite catin ?
    — Oh oui !
    — … la dernière ...
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