Alphonsine
Datte: 15/11/2018,
Catégories:
fh,
ff,
grosseins,
taille,
Oral
pénétratio,
Auteur: Analphabetix, Source: Revebebe
... comment, toi aussi, tu me fais mouiller…
Ses yeux brillent d’un feu intense. Elle est vraiment sincère. Sans plus attendre, elle commence à dégrafer sa grosse liquette épaisse de cow-boy. Dessous : un soutien-gorge tout blanc, le plus ordinaire qui soit possible.
L’ascenseur est arrivé, elle m’entraîne dans un recoin. Derrière les voitures, il y a une espèce de banc frugal en béton, j’ai l’impression qu’elle connaît très bien les lieux ! Sa chemise totalement déboutonnée, elle détache son soutif et libère des seins obèses. Enormes, mais plutôt fermes, avec des bouts très gros qui pointent vers l’horizon.
Cette fois-ci, ça y est, je suis dedans, complètement disponible pour cette partie de jambes en l’air totalement improvisée. J’agrippe ses gros appâts, je les pétris, tandis qu’elle, de son côté, ouvre son pantalon. Un slip tout aussi nul, une grosse culotte blafarde qu’elle baisse à l’unisson et qui dévoile une foune spacieuse avec de très longs poils clairsemés qui poussent dans tous les sens de façon anarchique.
— Touche-moi partout, petit cochon, j’ai trop envie…
Invitation sans équivoque à laquelle je souscris de bon cœur. Pour être mouillée, elle est mouillée, elle a la chatte toute poisseuse, gluante d’envie ; mes doigts se frayent un chemin entre ses lèvres charnues. Elle dégouline de nectar, et émet des gémissements tandis que je la fouille grassement.
Bientôt, elle me repousse avec fermeté, pas trop de temps pour les préliminaires, à moins que ce ...
... ne soit pas son truc… Elle détache mon pantalon, le fait tomber sur mes chaussettes. Mon slip subit bientôt, lui aussi, le même sort, ses doigts s’emparent fiévreusement de ma bite, une bite dure, chaude et dressée, pleine d’envie pour cette fille brutale qui ne sait que trop bien exprimer son désir.
D’ailleurs, la voici qui me pousse vers le banc de béton, qui m’invite à m’y allonger, sans un mot, sans un geste, mais avec fermeté. Son envie est très pressante. Le temps de retirer ses bottes, d’arracher son jean et sa culotte, puis elle vient sur moi, elle me chevauche, saisit mon dard et se l’enfonce puissamment dans sa grotte humide. Sous ses airs de camionneur, elle en veut vraiment, cette coquine, elle a un solide coup de rein et s’empale jusqu’à plus soif.
Plus souple qu’il n’y paraît, cette brutasse, ses grimaces trahissent un plaisir qu’elle s’efforce d’optimiser au maximum.
Et, même si je flotte un peu en elle, ses mouvements, amples et fiévreux, sont particulièrement efficaces. À ce rythme-là, je vais venir très vite. Je crois qu’elle le sait, qu’elle le sent et qu’elle le désire. Mais il me semble qu’elle a, elle aussi, de son côté, une envie très pressante, un gros besoin à combler. Elle accélère encore la cadence, elle se déchaîne, comme une furie, en balançant ses seins énormes devant mes yeux exorbités.
Un torrent de jus chaud gicle sur mon bassin. Elle vient de jouir en criant comme une bête, mais elle continue son empalage avec vigueur jusqu’à ce ...