Petite mort
Datte: 13/11/2018,
Catégories:
fh,
couple,
uniforme,
amour,
fsoumise,
vengeance,
contrainte,
odeurs,
Oral
historique,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
Au cours du XVème siècle, lorsque les samouraïs mettaient encore le Japon à feu et à sang, Tawara était parmi les meilleurs. Il excellait dans le maniement de l’arc et du sabre. Sa maîtrise de la torture des prisonniers, par la corde et les nœuds, arrachait des aveux aux plus récalcitrants. Contrairement aux cruels usages de l’époque, il leur tranchait le cou sitôt obtenu ce qu’il attendait d’eux. Cette magnanimité provoquait parfois une lueur de reconnaissance dans leur dernier regard.
Tawara n’avait pas non plus son pareil dans la conquête des femmes. Qu’il s’agisse de les forcer, de les séduire ou de les aimer, il était endurant comme aucun autre, et savait maîtriser les plus récalcitrantes.
Il n’en eut pas besoin avec Hamako, qu’il avait sauvée des pires sévices. Pendant la mise à sac de son village, son père venait de se faire tuer sous ses yeux par un autre guerrier. Le samouraï avait soulevé la jeune fille de terre et maintenue fermement devant lui sans même arrêter son cheval. Désignée comme prise de guerre par ce geste symbolique, elle devenait intouchable pour tout autre que lui.
À la nuit tombée, la fureur des combats enfin apaisée, il consomma leur union. Terrorisée, elle se laissa faire et se montra docile jusque dans ses plus impérieuses exigences. Les jours suivants, peut-être à cause de son apparente fragilité, il se comporta de manière prévenante, au point qu’elle commença à prendre plaisir à ses nombreux assauts. Il décida de lui épargner la vie et ...
... l’installa dans sa modeste demeure.
Elle se montra reconnaissante, au-delà de ce qu’imposait la soumission à son maître. Il apprécia particulièrement sa manière sauvage de devancer ses moindres désirs. Les longs cris stridents qu’elle poussait lorsqu’il la pénétrait, à mi-chemin entre l’effroi et le désir naissant, décuplaient son désir. L’entendre ainsi honorer sa virilité, même si la femme savait garder secrètement la maîtrise de leurs ébats, le comblait d’aise. Car, plus le temps passait, plus il devenait évident que l’habileté érotique croissante de la jeune femme lui faisait prendre le dessus au cours de leurs joutes amoureuses.
Il se laissa peu à peu ensorceler. Au point de perdre le goût de jouir à la va-vite d’autres prises de guerre, au hasard de ses hauts faits militaires. Il ne s’en montrait que plus empressé au retour de ses longues campagnes. Hamako s’offrait à lui avec un extrême raffinement, sachant le faire attendre, jusqu’à la limite de l’impatience, pour mieux de vaincre lorsqu’elle estimait le moment venu.
Il se jetait alors sur elle, fouillant son ventre de toute la force de ses reins, avant de la rejeter, pour mieux la reprendre, encore et encore. Insatiable, il subissait entre ses bras les seules, mais aussi les plus nobles défaites qu’un guerrier puisse accepter.
Souvent, après maintes étreintes, juste avant de sombrer dans le sommeil, il lui laissait prendre sa main et guider ses doigts entre ses cuisses. Avec une douceur inattendue de la ...