Chapitre 3 - Les petits trous
Datte: 12/11/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
fbi,
copains,
dispute,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
Humour
hff,
Auteur: Jean57, Source: Revebebe
... arrive à aller et venir sur ma bite car tout ce que je peux voir, c’est son cul que je trouve très beau et qui dégage une odeur enivrante.
Je m’applique à lécher son clito, mon nez toujours plongé dans son sexe. Elle me suce la tige et elle arrive même à me masser les couilles avec une de ses mains. Mais comment fait-elle ?
De temps en temps, je suis obligé d’arrêter mon cunnilingus pour respirer un peu. Finalement, cherche-t-elle à me tuer par étouffement ?
Avec mes deux mains, j’écarte bien ses fesses ce qui me permet de mieux la lécher. J’adore son sexe rasé et je m’en donne à cœur joie. Sous les caresses d’Estelle, ses coups de langue et ses va-et-vient, je commence à éprouver de plus en plus de plaisir et je sens que l’orgasme approche.
C’est ce moment qu’elle choisit pour stopper tout, descendre du canapé et se planter debout devant moi. Elle me prend par les mains et me tire de toutes ses forces m’obligeant à me lever. Puis sans attendre, elle me saute dessus et j’ai juste le temps de l’attraper tandis qu’elle passe ses bras autour de mon cou et ses jambes autour de ma taille. Puis elle me dit :
— Maintenant, montre-moi ce que tu vaux.
Elle passe une main sous ses fesses pour me saisir la queue et la guider jusque dans sa chatte.
« Ah c’est comme ça ! Je vais te montrer de quel bois je suis fait ». Je commence à la limer lentement et je devine qu’elle éprouve du plaisir, même si elle essaie de le cacher.« Tu vas voir ce que tu vas voir ». Au bout ...
... d’un moment, j’accélère le mouvement.« Tu vas comprendre que je suis un surhomme ». Je la pilonne maintenant depuis un moment. Je me sens fort, je vais bien la faire jouir. Elle est légère ce qui est très agréable. Je continue à lui défoncer le con.
Bon ce n’est pas tout ça, mais il faudrait qu’elle jouisse maintenant. Ben ouais, j’ai beau être un surhomme, mes jambes commencent à fatiguer. Je dois penser stratégie. Il ne faut pas qu’elle pense que je suis un faible. Je regarde discrètement autour de moi. Le mur se trouve derrière moi à peut-être deux ou trois mètres. Je continue à aller et venir en elle, tout en faisant en douce des petits pas en arrière. Enfin, après un temps qui m’a paru interminable, je me trouve à un petit pas du mur. Et hop, petit pas en arrière, dos contre le mur.
« Quel est le con qui a un jour décidé de mettre du crépi sur ce mur ? » Ça m’arrache le dos.« Ne pas crier, faire semblant de rien, être fort. Je suis un surhomme, nom d’une pipe ». J’avais oublié que, du coup, Estelle aussi se retrouve avec les jambes contre le mur. Ni une, ni deux, elle s’agrippe fermement à moi et pose ses pieds à plat sur le mur, avant de pousser avec force. Et me voilà parti en avant, toujours ma queue dans sa chatte. Ma trajectoire est très aléatoire, je manque trébucher dans la table du salon, j’évite le fauteuil de justesse et finalement j’aplatis Estelle contre la vitre de la porte-fenêtre qui donne sur le balcon.
En définitive, ce n’est pas si mal joué. ...