1. Chapitre 3 - Les petits trous


    Datte: 12/11/2018, Catégories: fh, ffh, fbi, copains, dispute, Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, Humour hff, Auteur: Jean57, Source: Revebebe

    ... Elle, dos contre la vitre, je recommence à la bourrer. C’est moins physique maintenant qu’elle est calée contre la vitre. Les yeux fermés, je la laboure sans ménagement. Mes coups de reins sont de plus en plus puissants et, après un long moment, je sens l’orgasme proche. Mais là, connerie absolue, je décide dans une seconde d’égarement d’ouvrir les yeux. Et immédiatement je remarque un couple tranquillement en train de fumer leur cigarette à leur balcon de l’immeuble d’en face. Tout de suite mon plaisir redescend tandis que l’homme me fait un petit signe de la main.
    
    Je déteste qu’on m’observe dans ce genre de situation, ça me coupe tous mes moyens.« Surtout ne pas montrer à Estelle que quelque chose me perturbe ». Je continue à la baiser et, mine de rien, je recommence mon voyage à travers le salon. Merde, cette fois je ne manque pas la table basse ! Je suis déséquilibré. Je dois penser très rapidement et chuter avec grâce. Finalement, je chois comme une merde sur le dos. Ouille ! Estelle négocie bien la chute et se retrouve sur moi, toujours ma queue bien plantée dans sa chatte.
    
    Sans attendre, elle reprend les va-et-vient sur ma queue, mais elle choisit de faire des mouvements de bassin d’avant en arrière pour bien frotter son clitoris sur mon bas-ventre. Oui, le petit veinard, me voilà bien peinard à me reposer tandis qu’elle fait tout le boulot. Quel grand stratège je fais, finalement. Et en plus, je peux enfin toucher ses seins. Je les saisis et je commence à les ...
    ... caresser. Quand je lui pince les tétons, je la sens éprouver plus de plaisir encore car elle se déchaîne maintenant comme une folle. Elle approche de l’orgasme, j’en suis sûr.« Allez, vas-y, jouis. Jouis, je te dis ». Et hop ! Aussitôt dit, aussitôt fait. Voilà que ma queue balance la sauce.« Merde, ce n’est pas à elle que je causais ». Heureusement, quelques secondes après Estelle jouit aussi, puis s’effondre sur moi.
    
    « Alors ? Tu peux me dire merci, bébé. T’as pris le plus grand pied de ta vie grâce à moi. Alors ? J’attends. »
    
    Et j’attends encore. Elle ne bouge pas, elle est toujours sur moi, ma queue encore bien dure est toujours dans sa chatte. Bon, c’est quand qu’elle me dit merci et tout et tout ? Ça commence à faire long. Ça fait combien de temps maintenant qu’on est ainsi sans bouger ? Quinze, vingt minutes ? Le tapis est confortable, mais quand même !
    
    Puis je sens de l’eau sur mon épaule. De l’eau ? Non merde ce n’est pas de l’eau, ce sont des larmes. Ah non ! Elle ne va pas me faire ça. Je déteste voir une femme pleurer, ça m’émeut. Elle essaie de m’avoir par les sentiments. Je dois résister. C’est facile, il suffit de penser à autre chose. À quoi ? J’observe le plafond et je vois dans l’abat-jour en aluminium le reflet de nos corps en tout petit. C’est beau. Non, je dois penser à autre chose. Je tourne la tête et j’aperçois dans l’écran éteint de la télévision le reflet du haut des fesses d’Estelle. Et je sens encore ses larmes sur mon épaule. Merde, elle va ...
«1...345...11»