1. Chapitre 3 - Les petits trous


    Datte: 12/11/2018, Catégories: fh, ffh, fbi, copains, dispute, Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, Humour hff, Auteur: Jean57, Source: Revebebe

    ... Désolé, je suis allé un petit peu trop loin, je pense.
    — Tu penses ? Depuis quand t’es capable de penser ? T’es un mec et les mecs ne savent penser qu’avec leur bite.
    
    D’un geste rapide, elle me donne une petite tape sur mon entrejambe. Elle a aussitôt un mouvement de recul.
    
    — C’est quoi ça ? Tu bandes ? Ça te fais bander de me dire des méchancetés ?
    — Non, ce n’est pas ce que tu crois.
    — Alors c’est quoi ça ? me dit-elle en tirant sur mon pull qui tombe à terre.
    
    Inutile de camoufler la bosse que forme ma verge.
    
    — Non, ce n’est pas toi qui me fais bander mais avoue que pour un mou, c’est pas mal.
    
    Et je remue le bassin de gauche à droite en l’avançant.
    
    — Désolée, mais je te trouve encore plus ridicule à tortiller des fesses comme ça. Tu restes cinq minutes et tu disparais. C’est largement suffisant.
    
    Elle m’énerve à me prendre pour un gland. Je décide de prendre les choses en main et je me dirige vers le salon.
    
    — Où tu vas comme ça ? Reste ici.
    — Ben, après ce qu’on va vivre, ce sera bientôt un peu chez moi ici, alors autant me mettre à l’aise.
    — Quoi ?
    
    Une fois arrivé devant le canapé, je baisse mon pantalon et je le balance avec mon pied.
    
    — Qu’est-ce que tu fais ? T’es fou ?
    
    Je fais de même rapidement avec mon slip qui traverse la pièce.
    
    — Arrête ! T’es malade !
    
    Je fais voler mon tee-shirt et je m’assois sur le canapé les bras sur le dossier. Je lui lance :
    
    — Voilà. Je t’attends. C’est quand tu veux.
    
    C’est le moment de ...
    ... vérité. Ma théorie est-elle exacte ? En tout cas voilà quelques secondes qu’elle ne dit plus rien et qu’elle fixe mon sexe bien dressé.
    
    — Alors, il te plait ? lui dis-je avec un sourire et un petit clin d’œil.
    
    Elle ne regarde rien d’autre que ma verge. J’attends qu’elle se décide. Enfin la voilà qui se décide au bout d’un moment.
    
    — Je te déteste, tu le sais bien… mais Émilie est ma meilleure amie et je ne peux pas lui mentir. Ce serait la trahir. Alors on va le faire vite pour en finir une fois pour toute. Après, dehors !
    
    Et voilà, mon charme irrésistible a opéré. Aucune femme ne me résiste. Je suis gagné par le sentiment d’avoir gagné une bataille. Estelle s’avance dans le salon et se déshabille. J’observe et j’admire le spectacle. Derrière ses vêtements amples de sports, elle cache en fait un corps magnifique. Elle est petite avec des fesses bien fermes mais aux formes très agréables. Ses seins sont de taille moyenne mais sont ravissants avec des tétons qui pointent généreusement. Je réalise que j’ai beaucoup de chance de me trouver là avec Estelle. J’en oublie même notre rivalité.
    
    Puis elle se précipite sur moi et, en deux temps trois mouvements et un joli soleil, elle se retrouve la tête en bas sur mon sexe tandis que ses jambes sont sur mes épaules. Je n’ai pas le temps de réaliser qu’elle me gobe la queue tandis que mon nez s’enfonce dans sa chatte humide. Elle sait ce qu’elle veut et, n’arrivant plus respirer, j’ouvre la bouche. Je ne sais pas comment elle ...
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