1. Cocue par la fille (1)


    Datte: 10/11/2018, Catégories: Hétéro Auteur: balista, Source: Xstory

    ... position précédente et avec la bouche, elle place la protection anti-baby, puis elle se retourne, et sans hésiter, enfile mon sceptre jusqu’au fond ; même pas un aïe, juste une mini-grimace, et en route pour la cavalcade. J’ai l’impression d’être sur des montagnes russes, pas la plaine blanche après la plaine blanche, car c’est plutôt la place rouge qui n’est plus blanche. C’est l’armée des cosaques taillant en pièce la Grande Armée. Complètement démontée, comme une tempête majeure, elle va me faire passer pour un EP5, je sens le magma remonter de ma cheminée volcanique ; pas moyen de l’arrêter ; du reste, est-ce que je le veux ?
    
    Ouf ! Je suis sauvé par le gong, elle a eu son orgasme avant que je libère la pression qui gonflait mes pruneaux. Elle s’affale sur moi.
    
    — Je savais que ce serait torride. Merci.
    
    — Mais il faut dire que l’expression de ta mère qui m’a inspiré, c’est quand elle m’a fait une pipe ce matin, alors que je lui ai tapissé les amygdales.
    
    — Idiot, c’est toi qui as involontairement interrompu le processus.
    
    Comment le pot aux roses a-t-il été découvert ?
    
    A la fin de la matinée, ayant sacrifié moult fois à Aphrodite, comme dit la chanson : « Par-devant, par-derrière, joyeusement comme toujours, elle a connu l’amour, la matinée du 13 juillet6 », je me mets à ma peinture, et, oh ! Miracle ; enfin, je termine à ma satisfaction le tableau, sa bouche a l’exacte expression que je voulais reproduire.
    
    Après un bon repas, je me plonge dans ...
    ... les délices d’un repos bien mérité dans la baignoire. C’est bon de flemmer dans un bon bain bien chaud. Les yeux fermés, je laisse mon esprit vagabonder sur les vagues de la matinée et me retrouve à nouveau avec une trique à faire pâlir d’envie une troupe de nonnes.
    
    Oh ! Bonheur ultime, je sens une main compatissante qui soulage la mienne de son travail de va-et-vient, mieux elle enjambe le bord de la baignoire et se laisse tomber sur moi, mon sexe s’emboîtant exactement dans le sien.
    
    — On ne peut pas dire, j’ai l’impression d’avoir ouvert la boîte de Pandore.
    
    — Plains-toi, j’ai l’impression que ce qui est en train de me faire du bien ne refuse pas ce que je lui offre !
    
    — Oui, mais avec ça, on va se faire piquer une fois, et là, je ne te parle pas du désastre. Je ne sais comment je vais gérer ça, deux tigresses affamées de sexe à la maison, dont la première doit tout ignorer de la seconde.
    
    — Elle fait toujours un boucan du diable quand elle rentre, pas de risque.
    
    Justement, parlant du risque, j’ai l’impression d’avoir vu une ombre ; non pas au tableau comme d’habitude, mais bien réelle.
    
    — Merde et re-merde ! Justement aujourd’hui, il fallait qu’elle se la joue discrète. Aïe ! Comment me sortir de cette galère ?
    
    Finalement, j’opte pour l’illusion d’optique et je continue la chevauchée, sachant qu’une épée de Damoclès est suspendue par un cheveu sur ma tête. Une fois arrivée au port du plaisir, Juliette se démâte et sort de la baignoire, repue, je ...