1. Cocue par la fille (1)


    Datte: 10/11/2018, Catégories: Hétéro Auteur: balista, Source: Xstory

    ... lèvres intimes sont gonflées, formant deux petits pains qui donnent tout de suite envie de les goûter, sans parler de son clito drôlement proéminent à l’aurore de sa vie de femme. Elle a dû déjà bien souvent le maltraiter.
    
    — Oui, lèche-moi ; depuis le temps que je rêve de toi sans jamais en avoir la satisfaction.
    
    — Mais tu sais ce que tu risques ? Une fois la locomotive lancée, il est difficile de la freiner.
    
    — Je suis sûr que pour moi tu y arriverais, mais je veux que ce soit toi qui me prennes pour la première fois. A entendre maman, je suis sûr que tu le feras bien.
    
    — Bon, je vois que c’est pas encore ce matin que je vais finir mon tableau. Tu es sûr de ce que tu veux ? Tu sais, à ce niveau, il n’y a pas de retour en arrière, une fois parti sur mes couilles, ton pucelage, il sera définitivement loin. Si tu veux, on peut se contenter de sexe oral.
    
    — Tu pourrais aussi m’enculer, mais je n’ai pas envie d’avoir mal au cul. Il y a des voies naturelles qui marchent mieux, et de toute façon, le pucelage, c’est plus un inconvénient qu’un avantage.
    
    — Et si ton futur mari te veut vierge ?
    
    — J’espère que vous n’allez pas m’obliger à prendre un vieux con réac.
    
    — Non, en aucun cas, tu seras bien libre de prendre qui tu veux. Le problème, c’est que je n’ai pas de capotes dans l’atelier, quand ta mère y vient, cela ferait mauvais genre.
    
    — Hé ! Moi, j’y ai pensé, me répond-elle en sortant une boîte de 20, on a de la marge avec ça.
    
    Alors devant l’inévitable, ...
    ... je plonge ma tête entre ses cuisses, l’odeur des jeunes filles est quand même plus rafraîchissante que des MILF où souvent il faut couvrir l’odeur par du parfum, là, c’est nature et délicieux, un monde de saveurs à faire pâlir certains gastronomes. Simultanément, mes doigts pas encore couverts de peinture à l’huile partent à l’assaut des bourgeons qui ornent ses jolis petits seins.
    
    Rapidement, l’huis est prêt pour le sacrifice ultime et je me redresse :
    
    — Je te le redemande, tu veux vraiment ?
    
    — Oui, ne traîne pas, viens, depuis le temps que j’en rêve.
    
    — Attends pour que ce soit toi qui le fasses à ton rythme, viens sur moi.
    
    — Si tu veux.
    
    Je me couche sur le divan et elle monte sur moi, mais à la place de descendre pour s’enfiler, elle me prend en bouche. Je ne sais pas où elle a pris des cours, mais c’est parfait la turlute.
    
    — Où as-tu appris à faire des pipes dignes de Saint-Claude ?
    
    — Internet, c’est pas fait pour les manches. Il n’y a pas que toi qui vas sur les sites cochons.
    
    — Comment ça ?
    
    — Il ne faut pas laisser traîner ton PC ouvert et un mot de passe correspondant à Jeanne, c’est trop facile. C’est là que j’ai vu ton long calvaire, calvaire qui va prendre fin tout de suite, mon chéri.
    
    Là, elle se retourne, et enfin, elle se laisse descendre sur ma queue à la limite de l’explosion.
    
    — Halte, je lui dis, il faut mettre le chapeau de pluie, le temps est couvert.
    
    — Ouille ! J’ai failli oublier.
    
    Gracieusement, elle revient à la ...