1. Cocue par la fille (1)


    Datte: 10/11/2018, Catégories: Hétéro Auteur: balista, Source: Xstory

    ... déjeuner !
    
    — Non, j’ai dans les yeux l’image pour compléter mon tableau ; quoique ta moue... il y a aussi quelque chose à prendre. Tu ne veux pas m’accompagner à l’atelier ?
    
    — Mon cher beau-père, que ne ferais-je pas pour te faire plaisir ? me dit-elle sans se rendre compte de la portée de ses paroles.
    
    Moi, je sais bien ce qui me ferait plaisir, mais je ne peux l’exprimer devant ma femme.
    
    On a beau être libre d’esprit, mais avec sa fille, je ne suis pas sûr qu’elle, elle apprécierait, vu la scène qu’elle m’a faite parce que je faisais les yeux doux à sa jeune secrétaire pendant qu’elle discutait passionnément avec le chef de la production de sa boîte. Scène parfaitement stupide, car si je la courtisais, c’était plus par ennui que par intérêt à proprement parler, alors qu’avec son chef de production, je ne suis pas du tout sûr que ce fut par ennui. Elle ne devrait pas mélanger le boulot et les galipettes. Enfin, ce n’est que partiellement mon affaire.
    
    Une fois Jeanne partie au turbin, on se dirige vers l’atelier, une fois installée sur le divan de pose, elle me demande si elle doit se déshabiller.
    
    — Pas tout de suite, tiens, regarde cette photo de ta mère, l’expression de sa bouche m’a l’air parfaite. Tu arriverais à reproduire cette moue.
    
    — Oui, mais à ce que je vois, il me faudra me faire le même traitement qu’elle.
    
    — Tu n’y penses pas, on ne peut se permettre ce genre de familiarité, imagine qu’elle l’apprenne ; je l’aime ta mère, je ne pourrais ...
    ... vivre sans elle.
    
    — Je sais, mais on a pas besoin de le crier sur les toits. Viens, approche-toi, que je voie ce que je peux faire !
    
    Attiré comme le papillon par la lumière, je ne peux m’empêcher de m’approcher et là, sans trembler, elle tire sur mon zip et tout de suite elle extrait mon sexe.
    
    — Drôle de mélange : sperme en toile de fond, cyprine de maman en couche principale, et finalement en couverture, sa salive. Je comprends que tu étais théoriquement fatigué ; enfin, pas de partout à ce que je vois ! Je pense que je vais y ajouter au moins ma salive.
    
    — Non, si on part dans cette direction, tu dois aussi être nue. Je suis sûr que cela m’inspirera pour ma peinture. (Il faut bien rétablir l’équilibre et profiter des bonnes occasions.)
    
    Je sens ses phéromones de jeune femelle qui me mettent hors de moi. Enfin, Jeanne n’est pas présente, on n’a pas besoin de lui dire et cela fait déjà un moment que je pense que la suite logique à la mère, c’est la fille.
    
    Elle souscrit à mes désirs, et se retrouve en tenue d’Eve ; et je retrouve mon inspiratrice en peinture, même si jusqu’à maintenant, je ne l’avais que comme modèle en costume de bain, je sens que je ne vais pas tarder de l’avoir comme amante.
    
    Je me mets à genoux devant elle en écartant les siens ; et son sexe, pour la première fois, me paraît sans la protection d’une culotte, ce qui me cachait le plus important. Je sens que sa fourche sent horriblement bon, un peu comme les foins coupés après l’orage. Ses ...
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