Vous auriez pu vous raser
Datte: 09/11/2018,
Catégories:
fh,
couple,
fépilée,
sexshop,
fsoumise,
noculotte,
fgode,
pénétratio,
fsodo,
sm,
attache,
baillon,
yeuxbandés,
fouetfesse,
Auteur: Damien, Source: Revebebe
... C’est moi qui commande.
Accélération des vibrations de la boule sur le clito. Ça devient dur, j’ai la gorge qui se serre, j’ai envie d’écarter ou de resserrer les cuisses, de faire quelque chose pour que ce soit plus fort ou plus faible. Sur ce rythme, la boule fait maintenant vibrer le gode mammouth aussi. J’ai comme des fourmis dans tout le bas-ventre. Je n’ai même pas réagi lorsqu’il m’a envoyé une giclée du tube de lubrifiant entre et dans les fesses.
Mais maintenant, je le sens écarter la chaîne, présenter son gland et appuyer sur mon œillet. Mon salaud, il est vraiment excité. Je n’ai pas beaucoup l’habitude de le recevoir de ce côté, mais une chose est sûre : il n’est pas aussi gros que cela, d’habitude. J’essaye de bouger, mais je reçois une claque sur les fesses. Il appuie.
Ça rentre tout seul ! À mon grand étonnement, je ne sens pas la brûlure habituelle et il n’a même pas pris la peine d’y aller doucement. Je ne suis plus maîtresse de mon corps, le plaisir me fait tout accepter.
Je ne sais pas combien de temps il a joué avec mon petit cul. Son pilonnage anal, les vibrations, le gode, le bâillon, le bandeau, les chaînes, ses doigts qui me pincent le bout des seins, ses morsures dans le cou, tout cela me réduit à l’état de chatte en chaleur. Je me sens en sueur lorsqu’il finit par jouir dans mon fondement. Il reste alors figé en moi un long moment, me serrant dans ses bras, le sang battant très fort dans sa queue.
Puis il commence par enlever le ...
... bâillon, retire les chaînes du gode et de la boule, le bandeau des yeux, et détache mes mains. J’ai les bras engourdis. J’attrape des mouchoirs pour essuyer le sperme qui coule entre mes cuisses. Il est encore en moi et continue son câlin.
C’est incroyable : en tant normal, une fois l’excitation arrêtée, mon anneau se referme et l’expulse. Là, cela fait bien cinq minutes que tout est arrêté, et on dirait que mon anus reste ouvert et continue à l’accepter. Certes, Damien a perdu de sa splendeur, mais quand même, il est toujours en place. Doucement, il se retire.
— Tu as vraiment été très bonne. C’était fabuleux, inoubliable ! me complimente-t-il.
S’asseyant sur le fauteuil, il m’attire sur ses genoux et me caresse les cuisses.
— Tu sais, avouai-je, j’ai bien failli m’évanouir plusieurs fois. Tu m’as fait jouir comme jamais. Je pense que je vais avoir des problèmes pour marcher demain…
— Alors, c’est vrai ? demanda-t-il. Tu vas te faire épiler ?
— Ah ! Tu ne perds pas le Nord, toi. Tu m’as fait bien jouir, alors maintenant, tu penses que je ne peux rien refuser ? Une chose, mon coco : tu t’imagines peut-être que je vais aller m’allonger dans le fauteuil de Thierry et lui montrer ma chatte pour qu’il me l’atomise ? Et de quoi on va causer au prochain repas ? J’imagine ce que Thierry va bien raconter à Evelyne le soir : « Alors, tu as vu Virginie aujourd’hui, il paraît ? » « Non, mais j’ai vu sa chatte ! » Franchement ?
— Hum ! fit-il, songeur. Tu sais, ils sont trois ...