Vous auriez pu vous raser
Datte: 09/11/2018,
Catégories:
fh,
couple,
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Auteur: Damien, Source: Revebebe
Virginie - Partie I
Je m’appelle Virginie. Il y a treize ans de cela, j’ai rencontré Damien, mon mari maintenant. Il était gentil mais timide, encore puceau, et c’est moi qui ai dû faire les premiers pas.Les premiers, car un seul n’a pas suffit. Notre premier ébat ne fut pas une victoire ; l’armée tira avant que la troupe ne monte à l’assaut et tout termina au caniveau.
Mais bon : gentil, doux, attentif, il sut m’attendrir et patiemment, de rencontres en rencontres, il prit de l’assurance et sut me faire l’amour de mieux en mieux.
Mon précédent amant était un expert, et il m’avait enseignée et fait découvrir les plaisirs du sexe. Avant lui, je croyais être frigide, que l’orgasme n’était qu’une simulation, et je me demandais comment les femmes pouvaient ressentir du plaisir en se faisant remplir le minou.
C’est donc avec plaisir, en tant qu’experte cette fois, que j’initiais mon jeune puceau à l’art et à la manière de préparer, chauffer et consommer une femme - ou plutôt moi, car toutes mes demandes étaient centrées sur mes attentes.
Ce fut un excellent élève qui apprit vite et, avec dix ans d’arriérés sous le bras, il avait des réserves à revendre. Très rapidement il prit de l’initiative, proposa des positions, des situations nouvelles. Chose inédite par rapport à mon ex, il parlait pendant l’amour et savait me raconter des histoires cochonnes qui m’excitaient encore plus.
Trois mois après notre rencontre, nous vivions ensemble. Les pilous, culottes et ...
... tee-shirts que nous utilisions au début pour dormir étaient maintenant bannis du lit. C’est nus l’un contre l’autre, et parfois lui en moi que nous nous endormions.
Dès le début, il m’avait proposé de s’occuper de l’épilation de mon maillot, et cette idée me plut beaucoup. Étrange, moi qui n’aimait ni me montrer, ni être touchée, j’avais avec lui le besoin inverse. Avec beaucoup d’attentions, deux ou trois fois par semaine, il m’épilait le minou à la pince à épiler.
Je compris très vite qu’il aurait aimé que mon minou soit vierge de toute pilosité, mais je campais sur mon besoin de rester femme en conservant une portion de toison. Cette toison, au fil des ans, se rétrécissait de plus en plus. Il était expert de la pince, j’étais habituée aux picotements et mes poils pubiens perdaient de l’autorité et du terrain. La forêt était maintenant réduite au pourtour de ma fente.
Dès le premier été, je compris très vite qu’il aimait me voir en jupe courte, jambes nues, sans culotte. Cette situation lui permettait de caresser à loisir mes cuisses et de flatter mon entrejambe.
De mon côté, ce que j’aimais, c’est qu’il soit en bermuda, sans slip dessous. Cela me permettait de le toucher à volonté, surtout dans les lieux publics. Je m’amusais comme cela à le faire bander et à le laisser en plan au beau milieu d’un supermarché. Mais cela me permettait aussi de le caresser et lui faire une fellation en voiture, ou dans toutes autres occasions.
Si de son côté il nous fallut oublier ...