Vous auriez pu vous raser
Datte: 09/11/2018,
Catégories:
fh,
couple,
fépilée,
sexshop,
fsoumise,
noculotte,
fgode,
pénétratio,
fsodo,
sm,
attache,
baillon,
yeuxbandés,
fouetfesse,
Auteur: Damien, Source: Revebebe
... pour toi.
— Lisse définitivement ?
À ce moment-là, l’idée d’être constamment épilée m’excite et me fait encore plus chauffer.
— Oui.
— Dis-le, alors !
— Oui, je veux avoir une chatte épilée pour toujours.
Enfin il me soulage. D’un coup sec, il s’enfonce jusqu’à la garde. Ses va-et-vient sont amples, d’abord lents et de plus en plus rapides et brutaux. Son doigt continue son travail sur mon clito ultra-lubrifié.
Il plaque maintenant sa main derrière ma nuque, me forçant à me baisser, les bras au-dessus de la tête, bloqués par la chaîne, et continue son manège. Il est endurant et énorme ce soir, la situation l’excite diablement. Il grossit encore et encore. Je sais qu’il va jouir. Son éjaculation est violente, je sens son jet brûlant arriver au fond de mon vagin, et ce choc déclenche alors mon orgasme, violent et fort aussi, je crie ou plutôt je râle, je miaule tandis qu’il continue.
Mon chéri est vraiment excité ce soir, car il conserve son érection et continue son œuvre. Pour moi, c’est déferlante sur déferlante. J’ai la sensation d’être soulevée, de bientôt m’évanouir. Mes oreilles bourdonnent et je ne sais plus quel bruit j’émets. Je le sens grossir à nouveau en moi, signe annonciateur du bouquet final.
Son explosion est de nouveau énorme, comme son pieu. Le choc me fait hurler, je serre les dents et grogne. Pendant tout ce temps, son doigt n’a cessé de m’agacer le clitoris. La chaîne et ma position m’empêchent de me frotter plus fort sur sa main ou ...
... de contrôler la pénétration, à tel point que j’ai maintenant des spasmes dans le bas-ventre.
Il reste plaqué contre moi, son torse sur mon dos, figé en moi, bien calé au fond. Je sens le sang battre dans sa verge, son cœur répond dans mon dos à sa queue. Il m’embrasse la nuque, me caresse les cuisses, le ventre. Il me complimente, me serre fort contre lui.
— Tu étais très excité, lui dis-je.
— J’ai imaginé ta chatte entièrement épilée de façon définitive. Lisse, douce, mieux qu’avec le rasoir, sans début de repousse du poil qui pique. J’imaginais que du coup, moi aussi j’étais épilé pour mieux profiter de la douceur de ton pubis contre le mien. Je voyais ensuite ton minou de jouvencelle se balader dans la rue, nu sous ta jupette qu’un coup de vent soulevait au beau milieu d’une foule de mâles en rut.
— Oh la là ! Quel programme !
Toujours avec mon bandeau sur les yeux, je l’entends attraper la boîte de mouchoirs en papier sur la commode, en prendre trois ou quatre, et tout en se dégageant de mon fourreau, il les coince en guise de bouchon entre mes lèvres.
Je crois alors qu’il va me libérer, mais au lieu de cela, je l’entends bouger et s’asseoir sur la chaise.
— Ben, tu me détaches quand ? je lui demande.
— Je ne sais pas. J’ai encore envie de te voir comme cela, en esclave. Peut-être même que je vais encore abuser de toi. Tu es vraiment prête à te faire épiler la chatte ?
Il a de la suite dans les idées, mon cochon. Après ce qu’il m’a fait, j’ai envie de ...