Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (3)
Datte: 10/02/2018,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... le paysage et surtout savourant l’odeur de sexe qui avait totalement envahi l’habitacle. Geneviève a légèrement ouvert les vitres pour un peu aérer, il faut reconnaître que ce n’était pas un luxe car en plus des odeurs douteuses il y avait de la buée sur les vitres. Cela me rappelait un peu la scène d’amour intense, dans la voiture qui se trouvait dans les cales du Titanic, avec les deux héros et les traces de doigts sur les vitres. On ne voyait strictement rien, mais tant de choses étaient évoquées avec ses marques. De temps à autre, je regardais avec insistance le visage de Geneviève, j’avais l’impression qu’elle aimait ce que nous vivions, il y avait plein de complicité dans son regard.
Je me demandais qui d’entre elle ou moi, allait fixer des limites en premier, pour l’instant nous n’avions aucune retenue. L’auto-stoppeuse était devenue une maîtresse prenant des initiatives, ce qui me rassurait et que cette relation avec cette femme mûre me donnait confiance en moi et surtout envie provoquer les hommes, les exciter quoi...
— Tu sais Coralie, tu donnes vraiment l’impression d’adorer faire des folies de ton corps.
— Je prends grand plaisir à me laisser aller avec toi, d’autant que tu prends beaucoup d’initiatives.
— Je voudrais que cela te permette de prendre confiance en toi, pour tes études et pour ton avenir.
Pendant que nous reprenions des forces, Geneviève était d’un sérieux, voilà quelques instants nous prenions un plaisir monstre et voilà que là, ...
... elle imaginait mon avenir. La capacité de cette femme, à passer de l’un à l’autre, était vraiment déroutante. Elle était très intéressante, ses paroles pesées, il eut été stupide de ne pas écouter ses propos.
J’avais l’impression qu’elle voulait se charger de me lancer dans la vie professionnelle et que, pour cela elle était en train de me former à l’école de la vie. En même temps que j’écoutais Geneviève, je repensais à ce que je venais de lui faire vivre, nous nous tenions par la main et je suis sûre qu’il y avait quelque chose entre nous.
— Viens me voir ma chérie, viens te mettre à califourchon sur moi.
Je me suis exécutée et c’est ainsi que je me suis retrouvée face à elle, elle à moitié allongée et moi assise sur elle. À partir de ce moment, j’ai senti ses mains se promener partout sur mon corps, elles étaient douces et me faisaient beaucoup d’effet. Ses mains découvraient ma taille, mon dos, mes anges et surtout ma poitrine ; elle aurait pu me faire ça toute la soirée, j’aurais apprécié.
— - J’adore vos caresses, elles me font un bien fou
— Je sais ma chérie, quand je vois la pointe de tes seins.
— Laisse-toi aller, ferme les yeux et essaie d’imaginer partout où vont mes mains.
Ses caresses ne passaient pas sous ma taille, seule l’adresse de ses mains, leur douceur, leur chaleur me faisaient du bien et surtout mouiller. Par moments pour casser le rythme, elle me tirait à elle pour que nous partagions un baiser gourmand et passionné. Je peux vous dire ...