Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (3) - Histoires de Sexe

Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (3)

... je commençais à être effrayée que Muriel entende tout. Sentant sans doute mon inquiétude, Geneviève a mis un disque, comme par hasard c’était George Michael avec ses chansons les plus sensuelles. La qualité du son qui sortait des haut-parleurs de la voiture était impressionnante, mais je pense que vu l’intensité sonore Muriel devait quand même se douter de quelque chose. Après l’avoir léchée longuement, j’ai écarté la culotte de ma partenaire, pour la seconde fois, j’avais un accès direct à son minou que je me suis empressée de lécher. Le goût était divin, bien meilleur que celui qui se trouvait sur la culotte qu’elle m’avait laissée.

Si je peux me permettre, là c’était un produit frais avec toute la chaleur qui va avec, avec tous ses poils pubiens qui permettent une meilleure diffusion de cette odeur de petite fille négligée. J’étais en train de faire un cunnilingus à une femme plus âgée que mes parents et j’en étais à l’initiative. Geneviève se limitait à me caresser le haut des épaules à travers ma douce robe et surtout les cheveux, j’étais très sensible à ses attentions et à sa douceur. Ma main gauche tenait la culotte écartée, pendant que ma langue était en train de se délecter, cela me faisait penser à un ours essayant de récupérer le miel dans le trou d’un arbre. J’étais par moments dans un silence complet car ses deux cuisses appuyaient sur mes oreilles. Par moments, la position était un peu inconfortable, mais le plaisir de nettoyer cet abricot suintant, en ...

... savourer le goût, en mémoriser les odeurs ; pour rien au monde je n’aurais voulu passer à côté de ça. Je ne m’interrogeais pas du tout quant à ma sexualité, j’étais bisexuelle sans aucun doute.

Je m’installai de mieux en mieux pour pouvoir donner des coups de langue les plus efficaces possible. J’entendais Geneviève soupirer de plus en plus fort, tout ceci sur la voix suave de Georges. Maintenant la patronne donnait des coups de reins, c’était du désir, manifestement elle aurait bien aimé que je la pénètre mais je ne t’ai pas pourvue pour cela. Par moments je lui écartais ses lèvres, pour essayer de glisser ma langue le plus loin possible dans son vagin. Il n’y a pas à dire, elle aimait ce que je lui faisais, et mon petit doigt me dit que c’était en train de venir. Elle a saisi ma tête fermement, pour la plaquer contre son entrejambe, elle était douce mais en même temps, elle était dure dans son geste. De mon côté je continuais de lui faire sa toilette et surtout de me régaler de ces sécrétions. Puis le moment est venu où elle a pris son pied, elle est passée à deux doigts de crier ce qui aurait interpellé Muriel. Pour la première fois de ma vie je venais de faire jouir une femme et pas n’importe laquelle.

Nous nous sommes déchaînées trois bons quarts d’heure durant, avant de faire une pause. Geneviève est restée dans le fauteuil qui s’allonge et moi j’ai pris place dans le même fauteuil qui se trouvait à droite. Nous sommes restées main dans la main nous regardant, admirant ...