Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (3) - Histoires de Sexe

Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (3)

Salut c’est votre folle de lycra.

Me voilà à me lancer dans un troisième chapitre pour cette histoire qui a beaucoup de succès il faut le reconnaître.

Je suis donc Coralie qui, en faisant du stop, a fait connaissance avec Geneviève et sa chauffeur Muriel. Je suis étudiante à la fac d’Orsay dans l’Essonne et je suis domiciliée à Luigny dans l’Eure-et-Loir. Geneviève est une riche héritière qui a très très bien géré son patrimoine et qui se trouve maintenant à la tête de plusieurs sociétés prometteuses et sources de gros bénéfices. C’est dans sa voiture prestigieuse en provenance de la ville Anglaise de Crewe que nous fîmes connaissance. Le charme et la classe de cette femme me faisait succomber pour elle, je ne sais pas si c’était pour les mêmes raisons, mais je crois qu’il y avait un sentiment partagé. Elle me gâtait énormément et surtout nous découvrions nos corps en prenant notre temps à chaque voyage. Nous en arrivions maintenant à mouiller l’une pour l’autre et surtout nous faire des petits plaisirs en pensant à l’autre. Jamais je n’aurais pensé qu’une femme me mettrait dans cet état, moi qui pendant les cours prenais du temps à mater les mecs et leur petit cul.

Au dernier voyage alors qu’elle me ramenait chez mes parents, je m’étais retrouvée à genoux entre ses jambes pour me délecter de son nectar intime. C’est moi qui avais pris l’initiative de me glisser entre ses jambes, à ma grande surprise et pour la première fois de ma vie j’avais envie de poser ma ...

... langue sur l’abricot d’une femme. Son parfum ajouté à son odeur intime me retournaient complètement. Ce soir-là quand je suis rentrée à la maison, Geneviève m’avait laissé un sac avec une longue lettre. J’ai passé quelques instants avec mes parents avant de m’empresser de monter dans ma chambre pour en voir le contenu. Là, oh grand bonheur il y avait des vêtements très coquins, il n’y avait rien de provoquant mais la femme qui portait ça devait être bien dans sa peau. Ainsi vêtue, il n’y avait pas de doute, les hommes allaient se retourner sur moi. Geneviève qui était très bien conservée, portait exactement les mêmes vêtements et je me suis empressée de tout enfiler pour me regarder dans la glace.

Il y avait plusieurs tangas que je me suis empressée d’enfiler et je n’ai pu me retenir de me caresser la figue avec. En deux secondes la pièce de tissu était trempée de cyprine, du coup j’en ai changé et en quelques minutes les cinq fines culottes étaient imprégnées de mon nectar intime. J’ai ensuite enfilé les magnifiques bodys en lycra, ils m’allaient à merveille et mettaient mon corps en valeur. Il n’y a pas à dire Geneviève avait le coup d’œil quant à ma plastique. J’étais tout excitée à tout essayer comme les deux jupes courtes en synthétique avec effet mouillé de couleur rouge. J’avais de quoi me changer au moins trois ou quatre fois tellement Geneviève m’avait gâtée dans le sac. Il y avait aussi deux paires d’escarpins, une noire, une rouge avec, pour les connaisseuses, les ...