1. Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (3)


    Datte: 10/02/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... ses lèvres sur mes joues. De loin, les gens qui auraient pu nous voir auraient pu croire que c’étaient des baisers maternels. Si nous n’avions pas été dans la rue, à la vue possible de tous, je crois que j’aurais embrassé Geneviève sur la bouche. Nous avons causé quelques instants avant que Geneviève donne des consignes à Muriel et que nous trois nous engouffrions dans le véhicule.
    
    J’avais poussé le vice à sortir avec la magnifique tenue que je possédais depuis moins de quarante-huit heures, ceci accompagnée d’une des deux paires d’escarpins vernis. Au premier regard, j’ai pu constater que Geneviève appréciait mon geste. Une fois installées dans la voiture, nous avons été sages seulement quelques instants, une fois de plus c’est moi qui ai pris les devants en venant embrasser Geneviève. Au début Geneviève n’a été que passive, avant de devenir entreprenante sur notre long baiser. Comme à chaque fois, c’est moi qui étais au-dessus et j’ai senti les mains de mon aînée venir se promener sur mes jambes finement gainées. Pour vous dire au combien j’étais excitée, le moindre déplacement de ses doigts sur mes cuisses me faisait sursauter de plaisir. En quelques secondes, ses doigts étaient remontés jusqu’à mon entrejambe et j’en suis persuadée, ils devaient déjà être tout humides de ma cyprine. Quand j’ai vu comment elle évoluait sur mon corps, j’ai décidé d’en faire autant ainsi, j’ai directement plongé ma main entre ses jambes.
    
    Nous devions être encore dans mon village et ...
    ... toutes les deux étions en train de nous gouiner, il n’y a pas d’autres mots. Je ne sais pas si c’était aussi agréable avec toutes les femmes, mais je prenais un grand plaisir à embrasser Geneviève.
    
    — Tu me fais mouiller comme tu n’imagines pas, belle enfant.
    
    Le fait que nous soyons toutes les deux dans ce petit espace capitonné, l’odeur de nos parfums, l’odeur de son minou, tout était là pour m’exciter au plus haut point. Elle ne se privait pas de me mordre les lèvres et je prenais grand plaisir à de temps à autre la regarder dans ses yeux bleus. J’étais de plus en plus déchaînée et j’ai pris l’initiative de, pour ainsi dire, la faire allonger sur son siège qui pouvait très bien devenir petit lit. Ma partenaire était pour ainsi dire couchée mais elle avait le pied droit par terre, ainsi positionnée, je pouvais me faufiler entre ses jambes gainées de lycra. Cette frénésie sexuelle, je la découvrais en moi et c’est Geneviève qui me mettait dans des conditions favorables à ce relâchement de mes interdits.
    
    Maintenant ma partenaire était totalement allongée et elle se laissait faire pour mon plus grand plaisir. Je lui caressais l’intégralité de l’intérieur de ses cuisses et je n’en avais aucun doute, vu ses réactions, elle adorait ma prestation.
    
    — Tu es divine ma chérie
    
    Ne pouvant plus résister à la tentation je me suis glissée entre ses jambes pour pouvoir voir, toucher, sentir et goûter la cyprine de sa culotte. Elle a commencé à pousser des petits cris de plaisir, ...
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