Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (3) - Histoires de Sexe

Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (3)

... que j’ai réussi à prendre trois fois mon pied avant de m’endormir vers minuit. Cela ne me dérange pas du tout de jouir en pensant à une femme, en imaginant tout ce que nous pourrions faire toutes les deux.

Le lendemain matin quand je suis descendue prendre mon petit-déj’ j’avais pris une douche et surtout j’étais habillée avec une robe sexy. J’ai eu le droit à un commentaire de mes parents, je leur ai expliqué que c’était une copine qui m’avait prêté ça pour voir si cela m’allait. Ils m’ont dit que la robe m’allait à merveille, qu’elle mettait mes formes magnifiquement en valeur, juste peut-être un peu trop. C’est ainsi que j’ai passé tout l’après-midi à étudier ainsi vêtue avec un regard admiratif de mes parents. Vers dix-huit heures, j’ai eu le droit à un message de Geneviève, le premier de la journée.

— Alors ma chérie comment s’est passée ta journée, tu as bien travaillé.

Le fait qu’elle m’appelle "ma chérie" me faisait tout drôle, même si cela ne me déplaisait pas.

— Je vais vous avouer Geneviève, que j’ai travaillé toute la journée dans la superbe robe noire moulante que vous m’avez offerte.

Puisque nous sommes dans la confidence, je vais vous avouer que mon petit minou n’a pas cessé de transpirer depuis hier...

— Si tu n’y vois aucun inconvénient j’aimerais pouvoir te récupérer demain vers seize heures.

— Je demanderai à Muriel de prendre le chemin des écoliers, histoire que nous restions plus longtemps ensemble.

Déjà qu’il se passait plein de ...

... choses dans cette magnifique limousine, Geneviève avait manifestement projet que nous allions encore plus loin.

— Pour mon plus grand plaisir, récupérez-moi à seize heures.

Qu’est-ce que va penser Muriel de cette façon de faire, il ne faut pas la croire stupide, elle va rapidement comprendre, si ce n’est déjà fait, que nous ne faisons pas que causer à l’arrière de la voiture. Elle aussi, était fort désirable et j’en arrivais à me dire que je ne serais pas contre me retrouver bloquée avec elle aussi. Son manque de poitrine donnait à Muriel un côté androgyne, ses yeux habillement maquillés me donnaient envie de lui rouler une pelle à chaque fois que lui faisait la bise. Ce soir-là, comme la veille, je n’ai pas pu me retenir que de me faire du bien à plusieurs reprises en essayant les tenues de Geneviève et en enfilant les superbes escarpins.

Je n’ai pas été bien longue à m’endormir et le lendemain, au réveil je ne pensais qu’à une chose, retrouver Geneviève dans l’intimité capitonnée de sa voiture. Bien que je sois chaude comme les braises, j’ai réussi à rester concentrée pour réviser et travailler ; là-dessus j’étais assez contente de moi. Tout s’est passé comme d’habitude avec mes parents et à cinq minutes du rendez-vous, je suis sortie avec mes paquetages direction l’église ou Geneviève et Muriel m’attendaient. J’ai fait la bise à Muriel et en ai profité pour savourer son parfum qui me troublait, puis je fis la bise à Geneviève qui m’a saisi le visage pour y déposer ...