La malédiction du meilleur pote (1)
Datte: 31/10/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: walter88, Source: Xstory
... guise de test. Elle glissa aussitôt sa langue dans ma bouche et m’embrassa comme jamais. Elle me roula des pelles sensuelles, ne s’arrêtant que pour déposer des baisers sur mes joues, dans mon cou, derrière mes oreilles qu’elle mordillait ensuite. Bientôt, mes mains fébriles s’attardèrent sur ses fesses, puis je fis glisser la fermeture de son pull et les bretelles de son mini-débardeur sur ses frêles épaules. Elle se retrouva les seins à l’air. Je n’en avais jamais vu d’aussi petits. Presque une poitrine de garçon, à ceci près qu’elle avait les tétons roses, longs et pointus. Elle me laissa les sucer et les mordre tendrement jusqu’à ce que je la fasse basculer presque violemment.
— Eh bien, quelle surprise. Soupira-t-elle. Et quelle fougue !
Elle avait l’air très émue.
— J’en avais envie depuis un moment. Lui avouais-je, au bord des larmes.
— C’est vraiment mignon, ça me touche, mais grave.
Elle m’embrassa ardemment. Puis elle baissa son short en me souriant amoureusement, avant d’enlever tout le reste, son débardeur, ses collants, son tout petit slip noir. Je me déshabillai moi aussi, sans la quitter des yeux. Mon sexe avait pris des proportions jamais égalées : presque dix-huit centimètres de barbaque, dure comme de la viande congelée.
— Carine, je veux que tu saches que ce qui va se passer est très important pour moi.
— Pour moi aussi, qu’est-ce que tu crois ? Murmura-t-elle, en tournant la tête sur le côté.
J’embrassai à nouveau sa poitrine, ses ...
... tétons effilés, son ventre plat puis son sexe, presque entièrement épilé à l’exception d’un tout petit triangle de poils clairs.
Elle me laissa la lécher et aspirer sa mouille, puis réclama ma queue. Le temps d’enfiler une capote et je me glissais en elle. Carine ferma les yeux. Elle fit courir ses doigts sur ma peau nue, me faisant frissonner de plaisir.
— Oh mais Steph, tu es un super bon coup en fait ! Gémit-elle soudain.
— Et toi donc ma chérie !
Et à nouveau des baisers passionnés, des mots tendres, des promesses d’éternité un peu ridicules. Je ne me lassais pas d’admirer son corps blanc et nu, empalé sur mon pénis, d’observer mon sexe coulisser dans son adorable petite chatte trempée. Floc ! Floc ! Elle haletait doucement, poussant, de temps à autre, des petits cris d’animal en détresse.
De l’autre côté du mur, on entendit le bruit sourd d’un meuble que l’on déplace. Carine sourit :
— Mon voisin. Je crois qu’il aime beaucoup m’écouter...
— Et il a souvent l’occasion de le faire ?
— Pas souvent, me rassura-t-elle, je... Je ramène rarement des garçons ici. Il a plus souvent l’occasion de mater mes petites fesses dans l’escalier. Conclut-elle en partant d’un petit rire mutin.
Je me mis à bouger plus vite, plus fort, plus profond, au son de sa douce voix :
— Oh oui mon chéri, continue, c’est bien...
Son voisin devait bander comme un âne, aussi dur que moi sans doute. Je l’avais croisé à plusieurs reprises : c’était un homme d’une quarantaine ...