La malédiction du meilleur pote (1)
Datte: 31/10/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: walter88, Source: Xstory
... parler comme si de rien n’était. Suite à cette vision de rêve, je m’étais souvent masturbé en essayant de me remémorer tous les détails de son corps de déesse : le triangle noir que formaient les poils humides de son pubis, ses gros nibards d’anthologie, naturels, mais qui avaient l’air d’avoir été refaits, son cul haut et ferme dans lequel j’aurais volontiers enfoui ou mon visage ou autre chose, un grain de beauté sur une de ses fesses, un autre à côté d’un de ses tétons...
Sœur de cœur
Toutefois, c’est avec une autre fille que j’ai le plus morflé. Rien à voir avec ce que j’avais enduré avec Amandine, car cette fois-là, désir charnel et amour tendre étaient étroitement liés.
J’avais fait la connaissance de Carine à l’université, la deuxième année. Nous étions tous les deux des caricatures d’étudiants en sciences humaines, vaguement rebelles, préoccupés davantage par les rave party et la défonce que par les livres complexes qu’on nous demandait de lire. Comme moi, Carine portait l’uniforme de la tribu : des vestes militaires, des grosses grolles en cuir et des piercings. Mais malgré tout cet attirail, elle demeurait très féminine. Elle affectionnait les bijoux, les petites jupes et les shorts très courts, les collants sexy, les hauts en dentelles ou en satin. Plus d’une fois, alors qu’elle rentrait seule tard le soir, des sales cons l’avaient traitée de pute ou lui avaient carrément proposé de l’argent pour qu’elle les accompagne dans un coin sombre. Il n’y avait ...
... guère que ses coupes de cheveux qui étaient somme toute assez ordinaires : elle les portait courts, teintés en noir ou en blond. Parfois, elle se les rasait à blanc, ne laissant courir des mèches que sur son front ou sur sa nuque.
Elle était vraiment très belle Carine avec son adorable petite frimousse et ses yeux gris bleu lumineux. Quand elle souriait, c’était le mot « fraîcheur » qui venait à l’esprit. Ses lèvres étaient charnues et ses dents parfaitement blanches - malgré toutes les saloperies qu’elle s’envoyait. Elle était petite et mince, dotée de seins presque inexistants, mais d’un cul rond et ferme et d’une paire de jambes que les garçons adoraient. Elle avait l’air sensible, fragile et vulnérable. Une petite biche, égarée dans un univers sans doute trop dur pour elle...
A vingt ans seulement, elle avait flirté avec une quantité impressionnante de garçons.
— J’ai commencé très jeune. M’avait-elle avoué. A une certaine époque, c’était un mec tous les samedis. Aujourd’hui, je me suis vraiment calmée...
Il fallait vraiment le savoir ! En dehors de quelques courtes périodes de stabilité, elle changeait d’amant tous les mois et continuait d’accumuler les rencontres d’un soir...
Elle m’avait expliqué que ces aventures étaient sans doute un moyen de lutter contre l’angoisse perpétuelle qu’elle éprouvait. Ce n’était peut-être pas une théorie complètement farfelue, car même si elle couchait dès le premier soir, il était évident, pour quiconque la connaissait, ...