1. La malédiction du meilleur pote (1)


    Datte: 31/10/2018, Catégories: Hétéro Auteur: walter88, Source: Xstory

    ... plaisir à elle, quand je la remplissais de sperme, ce n’était que pour lui faire un gosse. Si je lui déchirais ses collants, il n’était nullement question de bestialité, mais d’un trop-plein d’amour. Et si je me masturbais parfois en sentant ses strings bon marché, il fallait le comprendre comme un hommage à sa féminité.
    
    Tandis que d’autres, des salauds, des vicieux, qui dissimulaient leur perversité derrière des airs nonchalants – et qui auraient pu tout aussi bien baiser d’autres filles, lui enfonçaient leur sexe entre les cuisses, dans la bouche... et peut-être même ailleurs. Ils la doigtaient, ils lui léchaient le clitoris, ils jouissaient en elle en grognant, ils la faisaient gémir, couiner, ils me la souillaient ces pourritures... Et avec son consentement en plus... c’était insupportable !
    
    Je me souviens avoir vécu des moments terribles.
    
    Le coup classique : une soirée, Carine fait s’affoler les aiguilles de l’électromètre : moitié femme moitié tekno, le short en cuir à peine plus gros qu’un slip, les collants résille qui remontent jusqu’à son nombril à l’air, de la quincaillerie plein les bras, le cou, des bottines en cuir... Elle se fait draguer toute la nuit, finit par s’en aller avec un de ses prétendants et me laisse deux jours sans nouvelles...
    
    Je me rappelle aussi d’un début de soirée, dans une ancienne carrière. J’étais occupé à conditionner dix grammes de speed à l’arrière d’une bagnole. A proximité, trois copines discutaient. Elles parlaient ...
    ... fort, en s’esclaffant :
    
    — Moi les filles, je suis désolée, mais je trouve qu’il y a une taille limite ! Quand c’est trop gros, c’est trop gros !
    
    — Comme Seb par exemple, ah mais putain il me faisait mal ce con !
    
    — Ah c’est clair, il est énorme !
    
    Seb, c’était un grand costaud pas facile, un garçon qui approchait la trentaine, bagarreur, ombrageux. Le fait d’apprendre qu’il était particulièrement bien membré m’aurait été bien égal... si Carine n’était pas sortie avec lui pendant plus d’un mois !
    
    — Il faudrait demander à Laurence ce qu’elle en pense. Gloussa une des filles. Elle a passé le week-end dernier chez lui.
    
    — Ou à Carine. Ajouta une autre. Elle a tenu un moment avec lui. Un mois je crois.
    
    La sensation d’un piquet en acier dans la poitrine aurait sans doute été préférable à ce que je ressentis en entendant ces mots. Un flash : ma tendre chérie seulement vêtue du mini-porte-jarretelles panthère qu’elle cache au fond de son armoire, empalée sur une bite énorme, les cuisses aussi écartées que les lèvres de son sexe. Mais elle crie ma princesse, elle aime ce qu’on lui fait, et c’est loin d’être un supplice...
    
    — Comme quoi, ce sont parfois les petits formats les plus résistants !
    
    Et les trois filles de hurler de rire.
    
    Un peu plus tard, voilà Carine qui se pointe, blouson rose, cartouchière à la ceinture, minijupe en cuir et collants arachnéens. Elle fend la foule, me sourit et m’enlace :
    
    — Tu as l’air tout bizarre mon chéri. Constate-t-elle en ...
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