1. La malédiction du meilleur pote (1)


    Datte: 31/10/2018, Catégories: Hétéro Auteur: walter88, Source: Xstory

    ... C’était la première fois que je touchais ses cuisses : elle avait la peau fine et soyeuse, aussi délicate que tout le reste de son être. Puis elle se releva brusquement, toute joyeuse, inconsciente, j’en étais certain, de l’émoi qu’elle avait provoqué.
    
    — On y va Steph’ ? Proposa-t-elle en passant ses mains dans ma tignasse...
    
    — Comme tu veux...
    
    Elle se pencha pour déposer un dernier baiser dans mes cheveux. Dans mon slip, ma bite, tendue à l’extrême, me faisait un mal de chien.
    
    Une fois chez elle, je m’affalai sur le canapé, en caleçon et en tee-shirt. Carine se glissa tout habillée dans son lit, un matelas posé à même le sol. Sous sa couette, elle enleva sa jupe, puis ses chaussettes et ses collants. Elle les posa non loin de son adorable petite tête. J’eus très envie d’aller la rejoindre, de frotter mes jambes nues contre les siennes, de me faire à nouveau dorloter.
    
    Je passai le reste de la nuit torturé par une érection monumentale. Impossible de m’assoupir ou même de me détendre. Et cette fois, inutile de me mentir, je ne bandais que pour ma meilleure amie. A l’aube, je décidai d’en finir. J’entrai dans la salle de bains, extirpai mon sexe et me branlai en pensant à ma jolie petite Carine, à ce qui aurait pu se passer sur le banc si nous avions été amants... et seuls au monde. Je l’aurais caressée sous sa jupe pendant qu’elle m’aurait tripoté la queue en s’extasiant : « - Elle est grosse dis-donc ! Et qu’elle est dure en plus ! » J’aurais fini par lui ...
    ... écarter les jambes pour lui lécher tendrement la chatte, agenouillé sur le macadam, à ses pieds, au propre comme au figuré. Puis nous aurions baisé comme des malades en nous disant des mots d’amour, encore à moitié habillés, le pantalon sur les chevilles pour moi, les collants explosés et la culotte à mi-cuisses pour elle, par-devant puis par-derrière, comme le font les chiens dans les festivals, aussi fort, aussi frénétiquement... Elle m’aurait supplié de jouir en elle et en aurait pris plein la fente, une belle décharge de foutre chaud... « - Et si tu tombes enceinte mon bébé ? - On le garde, bien sûr ! »...
    
    Je giclai dans le lavabo, étouffant une plainte. Puis je me rinçai, avant de retourner m’allonger, enfin soulagé.
    
    Moitié femme moitié tekno
    
    Suite à cet épisode peu glorieux, mes sentiments pour Carine ne furent plus jamais totalement dénués d’amour et de désir. Et plus le temps passa, plus il me devint insupportable de la voir fréquenter d’autres mecs, de songer à ce qu’ils lui faisaient dans l’intimité de leurs chambres poussiéreuses ou sur leurs sofas miteux. Nous étions les meilleurs amis du monde. Nous nous étions vus dans des états seconds, vomir, délirer, pisser, nous avions pleuré ensemble, l’un contre l’autre, et pourtant, j’osais à peine me toucher en pensant à elle. Et quand je cédais à la tentation, je n’imaginais que des rapports très tendres, conventionnels, dénués de toute pornographie. Quand je l’embrassai entre les jambes, ce n’était que pour son ...
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