Simon, le petit paysan soumis - Chapitre 2 : La première leçon
Datte: 30/10/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Lesbottes, Source: Hds
... aussi que chacun d’entre nous devait laisser ses affaires de travail. Ma mère a toujours interdit l’accès à la maison en combinaison ou a fortiori en bottes. Poser mes bottes n’était pas un problème, mais je n’avais plus de slip. Or impossible de rentrer sans passer par la cuisine et croiser ma mère qui visiblement cuisinait. Rentrer avec ma combi était inconcevable la règle était trop ancrée pour feindre d’avoir oublié. C’était mécanique. En aucun cas ma mère ne m’aurait épargné ! si je rentrais avec Je me ferais engueuler et j’aurais de tout façon à la poser. Je n’avais pas d’autre moyen de que de rentrer à poil et espérer qu’elle tourne le dos ou ne prête pas trop attention à moi…
Quitte à être à poil je décidai de tout enlever pour justifier que « tout était au sale ». Je rentrais donc, finalement pas trop gêné, mon idée paraissant bonne !
̶ « ‘’lut. je vais me doucher !».
Surprise ! Ma mère n’était pas seule. Trois personnes étaient assises autour de la grande table en bois de la cuisine. J’étais médusé, les mains cachant comme je pouvais mon sexe, bafouillant « désolé ». Ma mère n’en revenait pas. Je ne pouvais m’empêcher de croiser furtivement le regard des trois invités qui visiblement trouvaient tous la scène plutôt drôle. Je filais au plus vite par l’escalier, rouge de honte. Je montais quatre à quatre et m’engouffrais dans la douche. Je restais longuement sous l’eau à repenser à l’ensemble des événements de la journée, oscillant entre plaisir, ...
... sidération et crainte pour la suite.
Une fois propre, il fallait bien que je redescende, mais je n’avais pas très envie de recroiser les trois intrus. Je m’y résignais pourtant. Arrivé dans la cuisine je constatais que ma mère était sortie avec deux d’entre eux. Seul le plus âgé des trois, la quarantaine disons, bedonnant et déjà bien dégarni, était encore là, regroupant des papiers et se préparant à plier bagage. Il me jeta un regard amusé, le sourire en coin. Puis me fixant droit dans les yeux me dit :
« J’espère que tes fesses ne te chauffent pas trop car visiblement tu as pris quelques fessées cette après-midi. C’était mérité ? Tu as sans doute été un mauvais garçon et tu auras trouvé une bonne âme pour te donner la correction que tu méritais et te faire repentir… »
Je baissais les yeux, rouge de honte à nouveau.
« Donc visiblement oui tu le méritais et cela t’a soulagé… Personnellement, je préfère la verge de noisetier pour les petits cochons de ton genre, mais la fessée à ses vertus, c’est très bien quand on a à se faire pardonner… ». Il se leva, rangea rapidement les documents qui trainaient. Il avait à peine posé sa pain sur la poignée de la porte qu’il se retourna et ajouta : « qui sait peut-être un jour auras tu à te repentir et je devrais te punir à mon tour ? ».
Je restais planté là, figé jusqu’à ce que ma mère rentre. Ce type avait tout compris et me faisait carrément des allusions pour que je me présente à lui !
̶ Eh bien tu as fait une drôle ...