1. Simon, le petit paysan soumis - Chapitre 2 : La première leçon


    Datte: 30/10/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Lesbottes, Source: Hds

    Chapitre 2 : La première leçon
    
    Je ramenais ma remorque de manière totalement mécanique. Le tracteur connaissait la route et je me laissais porter par le bruit. Je n’arrivais même pas à réfléchir. A l’approche de la ferme familiale, je commençais à ressentir une pointe d’inquiétude. Comme si c’était marqué sur ma gueule que je venais de sucer Roger et de me livrer à lui.
    
    Cette pensée me replongea dans la scène que je venais de vivre et immédiatement mon corps réagit. Je bandais aussitôt. Je me revoyais à genoux avec le sexe trapu de Roger dans ma bouche, je pouvais encore en ressentir la forme et le goût. J’avais aussi un peu mal aux fesses, les claques avaient sans doute portées un peu plus que je ne l’avais initialement ressenti, ma joue me chauffait aussi, machinalement j’y portais ma main.
    
    Roger avait assuré ma traite. Rapidement vu mon excitation. A peine installé, je n’avais pas tenu longtemps entre ses grosses mains expertes. La rugosité de ses doigts et de sa paume n’avait fait qu’accroitre mon plaisir. Il avait recueilli ma semence dans un petit récipient et me l’avait faire boire ensuite. « faut bien les engraisser les veaux, les porcelets en ton genre. A bien y réfléchir c’est vrai que t’es tout rose comme un cochon ». Il se moquait de moi. Mais c’était juste. J’étais rond et rose et toujours à quatre pattes sur mes deux bottes de foin, en T-shirt, en bottes et la queue à l’air. Et j’attendais la suite des événements. « Tu vas nettoyer la gamelle, ensuite ...
    ... tu te rhabilleras, je ne voudrais pas que ton père s’inquiète et t’empêche de me rendre visite. Juste je garde ton slip. Il m’appartient et t’en n’a pas vraiment besoin ». Je me redressais, récupérais ma combinaison et l’enfilait directement. La sensation de la porter sans sous vêtement était délicieuse. Roger le savait très bien « c’est mieux comme ça hein ?.
    
    Il s’était rouvert une bière et me regardait faire, adossé à la paroi, une jambe repliée, la semelle de sa botte contre le mur. Quand j’eus terminé il me demanda d’approcher et me fit mettre à genoux. Bras dans le dos. Yeux baissés.
    
    ̶ « tu vois j’ai besoin d’un commis, un bon gros commis très docile, pour m’aider et me satisfaire. J’ai de gros besoins et toi faut t’éduquer. Toujours puceau à ton âge ce n’est pas possible, alors je vais m’en occuper. Dorénavant, tu m’appartiens. Corps et âme comme on dit. Tu ne penses plus, tu ne te touches plus sans m’en parler tu n’as plus aucun souci à te faire je te contrôlerai à tous les niveaux, tu ne t’appartiens plus, tu es à moi. C’est clair ? ». C’était très clair.
    
    ̶ « Oui maître ».
    
    Dorénavant, tu ne porteras plus de slip, c’est inutile, et tu mettras tes bottes chaque jour, c’est en bottes que je veux te voir. Je te fournirai un bleu pour le travail. Car oui tu vas travailler pour moi. Tu expliqueras à ton père que je t’embauche pour les vacances, car Laurent est chez sa mère et je n’ai pas de stagiaire cette année. ». La demande me terrorisait. Comment ...
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