Du fantasme d’être violée à la réalité.
Datte: 24/10/2022,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Vos histoires
Auteur: Chloe, Source: Histoires-de-Sexe.club
... son dîner. Une coïncidence pareille, je me dis que c’est un signe. Je prends mon courage à deux mains, respire un bon coup et descends de la voiture. Je lui explique que j’ai oublié des clés pendant ma visite. Il me dévisage de la tête aux pieds, je le vois se mordre sa lèvre inférieure, mes jarretelles, attachées à mes bas, étaient apparentes (ça interpellerait plus d’un homme). Il me répond avec un accent tranché : rentre, cherche, moi pas voir clés. Il ouvre la porte du jardin, je lui emboîte le pas, il la referme à clef, mon cœur commence à battre fort. Il me fait passer devant lui, on traverse le jardin, je sens son regard sur moi (j’ai un petit peu relevé ma jupe entre temps, laissant apparaitre la courbure inférieure de mes fesses), il ouvre la maison, me demande d’entrer, encore une fois referme la porte à clé et tue dans le nid tout espoir pour moi de m’échapper. Il me fait signe de commencer ma recherche. Je décide directement de monter les escaliers, je me tortille langoureusement, je le vois qui me suit, tout en penchant sa tête, pour ne rien rater, du spectacle offert par ma croupe.
Arrivée en haut, il m’attrape la nuque avec force, et me plaque contre le mur. J’ai mal, je crie, je ne m’attendais pas que ça aille de cette manière et si vite. Je me débats, il me balance une gifle, enchaîne avec plusieurs autres, je suis terrifiée. Avec l’autre main, il relève ma jupe, m’attrape les fesses, les frappe, les pince, je hurle de douleur, lui me répète en me ...
... secouant : tais-toi, tais-toi, pourquoi toi venir habillée comme ça, pourquoi toi venir comme prostitué ? Moi te donner ce que toi chercher. C’est là, que j’apprends, à mes dépens, la différence entre le fantasme et la réalité : bien qu’excitée par la situation, je suis paralysée par la peur et la brutalité qu’il me fait subir. Il arrache ma jupe, retire mon haut toujours avec violence, me retourne, malaxe mes seins, mort mes tétons roses au sang. Il descend sa main dans mon string, trifouille mon abricot totalement épilé, enfonce entre mes lèvres presque humides, un doigt, puis deux. Il sourit : il sent que ma mouille devient de plus en plus abondante. Il me demande si je suis mariée, je réponds que oui, dans l’espoir qu’il s’avise : au contraire, ça n’a fait que l’exciter encore plus. Il traite mon mari de petite bite, de cocu, parce qu’il me laisse sortir habillé comme une salope. Il m’explique que ce soir je vais connaitre un vrai mâle. Il se met à m’embrasser, il sent le tabac froid et l’alcool. Il veut me rouler des pelles, je refuse d’ouvrir ma bouche. Il me pince avec une main la mâchoire (l’autre s’occupe toujours mon minou) jusqu’à ce que je lui en donne l’accès pour y engouffrer sa langue. Il me crache dans la bouche, me calotte plusieurs fois, m’attrape les cheveux, me descend la tête au niveau de son entrejambe. Il ouvre son pantalon, je résiste en essayant de me relever. Il enlève sa ceinture, me l’enroule autour du cou et me tient comme un chien, ou ici en ...