Une merveilleuse croisière
Datte: 26/10/2018,
Catégories:
vacances,
pénétratio,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... Rapidement sortis du déjeuner, ils sont montés à la piscine. Personne, il fait trop chaud. Comme les autres fois, elle lui demande de détacher le cordon de son haut. Le soleil est brûlant, tous deux sont en sueur. Se relevant, torse nu, se tournant vers lui, elle lui dit :
— Il fait trop chaud, j’ai peur d’un coup de soleil. Il n’y a personne, je vais me baigner.
— Tu as raison ; moi aussi je vais me rafraîchir.
Elle est splendide ! La vue de sa poitrine lui a provoqué une terrible érection ; il vaut mieux qu’il se mouille. De son crawl puissant mais un peu brouillon, il la rejoint au milieu du bassin. Se plaçant derrière, il saisit les seins à pleines mains et l’embrasse dans le cou. Elle accepte cet hommage sans un mot.
Mais du bruit se fait entendre dans le couloir d’accès ; elle nage rapidement vers le bord, sort d’un bond et s’allonge sur sa serviette. Les deux garçons d’une quinzaine d’années ont tout de même pu profiter quelques instants du spectacle.
Rejoignant le cinéma, ils s’isolent dans le fond de la salle. Alors que le film se déroule, c’est une véritable séance de pelotage. Après le haut, une main glisse sous la mini-robe pour explorer son intimité. Elle doit le calmer, car quelques spectateurs se retournent. Il tente alors un baiser. Réticente au début, elle entrouvre les lèvres. Alors il se déchaîne. Elle doit repousser son visage, car à nouveau on les regarde.
À la sortie, Pierre l’entraîne au bar. Pour fêter la fin de la croisière, elle ...
... accepte deux verres d’apéritif. Pour aller jusqu’à la salle à manger, il doit un peu la soutenir. Le dîner est rapidement expédié. Elle lui indique qu’elle va aller se coucher car elle se sent un peu fatiguée. Naturellement, il l’accompagne pour éviter une éventuelle chute.
Arrivés devant leurs cabines, il amorce un baiser auquel elle répond avec enthousiasme. Profitant de l’ivresse de sa compagne, il prend connaissance de tout son corps. Puis, ouvrant la porte de sa cabine, il l’entraîne. Elle le repousse, mais sans grande conviction et finit par entrer.
Il entreprend de la déshabiller, mais elle proteste :
— Doucement, je suis crevée. Et puis tu vas déchirer ma robe.
— Mais viens, je t’aime. Unissons-nous, prenons notre plaisir ensemble.
— Tu sais, j’ai eu déjà deux amours qui se sont mal terminés. À présent, je me méfie ; et surtout, j’ai peur.
— Mais je suis prêt à t’épouser. J’ai bonne situation, une maison ; ce sera merveilleux !
— Je ne veux pas m’engager sans que tu connaisses mon passé.
— Aimons-nous ; après, tu me le raconteras.
La prenant dans ses bras, il la dépose sur le lit. Enfin il peut admirer ce corps tant désiré. Pour la première fois il peut honorer, embrasser ces seins qui l’ont tant fait rêver. Sa main descend jusqu’à la fourche ; ses doigts dénichent le bouton, le grattent un moment.
Puis enfin il se redresse et s’unit à elle.« Elle n’a pas dû connaître beaucoup d’hommes, car elle est étroite : j’ai trouvé la femme rêvée ! » Bouillant ...