Une merveilleuse croisière
Datte: 26/10/2018,
Catégories:
vacances,
pénétratio,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... ; je pourrais tenter ma chance. »
Elle répond à son appel et sort en peignoir de bain. Quand, au bord du bassin, elle retire son habit, elle apparaît dans un maillot une-pièce. Elle est magnifique, un véritable mannequin. Pierre l’admire, et il n’est pas le seul !
« Plongeon impeccable, crawl parfait ; une sportive. Il me la faut ! Pour la croisière, et peut-être plus. »
Désormais, ils sont très souvent ensemble ; les autres passagers les considèrent comme un couple.
Le lendemain, à table, au cours d’une conversation, volontairement il la tutoie, puis immédiatement s’excuse.
— Mais, nous devrions tous nous tutoyer, intervient le nouveau marié.
— C’est vrai, et ce serait plus sympa !
— Euh, pourquoi pas ? dit Anne-Marie.
— Cela simplifiera nos relations.
Pierre est ravi. Il ne savait comment le proposer à sa voisine, et son astuce a réussi. Désormais, ils pourront parler plus librement.
En redescendant vers leurs cabines, il propose :
— Il y a plusieurs salles de cinéma ; nous pourrions aller voir un film, si ça te convient.
— Comme vous… tu veux.
— Alors choisis le programme ; les titres sont indiqués sur la feuille que l’on nous a remise. Il y a des séances à quatorze et dix-sept heures. Puis nous pourrions ensuite aussi aller nous baigner.
— D’accord. Nous irons d’abord nous baigner ; je frapperai à ta porte.
Comme convenu, à quatorze heures trente, elle frappe. Déjà prêt depuis longtemps, il sort immédiatement. Arrivés au bord du bassin, ...
... elle se dépouille. Pierre reste bouche bée. Aujourd’hui, c’est un deux-pièces, mais qui laisse deviner une poitrine magnifique.
— Que préfères-tu ? lui demande-t-elle, le maillot une ou deux pièces ?
— Ils sont tous deux sensationnels, mais surtout portés par toi.
— Tu dis ça pour me flatter. Je sais qu’à bientôt trente ans j’ai pris quelques kilos de trop. Mais c’est gentil de ta part.
« Ça y est, elle se débloque, constate-t-il.Je sens que je vais pouvoir attaquer ! » Ils restent allongés au soleil. Elle a défait le cordon de son soutien-gorge.
— C’est pour ne pas avoir de traces blanches sur mon bronzage. Il est délicat de le rattacher sans aide, mais tu es là.
— Je suis prêt à te rendre ce service.
Il essaie de ne pas fixer son le regard sur elle. Mais quand parfois elle bouge, on entrevoit la rondeur d’un sein. Lui aussi reste à plat-ventre, son caleçon est tendu par son désir.
Au bout d’un petit moment, elle lui demande de renouer son haut. Il obéit, enchanté. Elle se redresse, puis des deux mains elle place bien ses seins dans les bonnets. Il a ainsi l’occasion de la toucher, et même en lançant un regard par-dessus l’épaule, d’apercevoir la naissance de la poitrine.
L’heure s’avance et il leur faut descendre pour se changer. Elle apparaît en robe étroite mais fendue sur le côté afin de lui permettre de marcher. La salle est presque déserte ; Pierre l’incite à se placer assez loin afin de bien voir tout l’écran. Personne derrière eux.
Dès le début ...