Sophie à l'EHPAD (6) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (6)

... fulgurant et électrique. Des spasmes parcouraient mon corps et je me retrouvais sur le sol. L’hôtesse fournit le pilote en papier pour qu’il s’essuie la main et sans attendre, il me plia sur l’accoudoir du siège du copilote qui ouvrait sa ceinture pour libérer une bite énorme.

Je l’introduisais dans ma bouche après qu’il m’ait donné quelques coups sur le visage avec. Pendant la fellation, ce n’étaient plus les mains de l’hôtesse qui ravageaient mes seins, mais celles du copilote. Moins douces, elles écrasaient ma poitrine et tiraillaient mes tétons.

L’hôtesse de l’air n’était pas restée inactive, car je sentais qu’elle rentrait un objet long dans ma chatte et le mettait en mouvement.

Son sexe hors normes eut raison rapidement de moi et il me gicla dans la bouche et sur le visage.

Là encore, l’hôtesse était aux petits soins : elle distribua au copilote et à moi-même du sopalin pour nous nettoyer. Je regardais mon ventre en baissant la tête et reconnus l’objet qui sortait de mon corps : c’était une banane ; elle brillait de ma cyprine abondante.

— Garde-la au chaud, tu la mangeras tout à l’heure et surtout ne la fais pas tomber, sinon gare...

Elle lisait dans mes pensées. Elle baissa mon petit haut et après avoir regardé dans l’œilleton de la porte de la cabine, nous fit sortir du poste de pilotage. Je me retrouvais une nouvelle fois à me promener entre les allées. Je devais faire de tout petits pas, car sinon le fruit serait arrivé sur le sol et l’hôtesse ...

... m’avait bien mise en garde.

Les gens pouvaient tout à loisir détailler ma fente rose et lisse et mon petit cul serré. Je ne sais pas si vous avez déjà marché, ou vu quelqu’un marcher avec une banane dans la chatte sans la faire tomber, mais ça tient du ridicule absolu. Je serrais mes fesses et mes cuisses, ce qui avait pour résultat de ne pouvoir faire que quelques centimètres à chaque pas.

Je rejoignis mon siège d’où Gabrielle réveillée filait mes exploits.

Je pus enfin m’asseoir et elle ôta mon petit haut rose, libérant mes seins.

L’hôtesse parlait avec elle et cette dernière lui donna son smartphone pour me prendre en photo, baisée par la banane. Pour ce faire, mes pieds se retrouvaient bien à plat sur le siège ce qui devait donner une vue intime très excitante.

La banane extraite de mon vagin, épluchée avec soins, se retrouva dans ma bouche. Elle était passée de mes lèvres vaginales à mes lèvres faciales en un clin d’œil.

L’heure du déjeuner approchait et nous eûmes droit à une bouteille entière de champagne. Gabrielle me laissait me servir. Du coup, au moment de manger, j’étais déjà grise. Je ne pus manger tout ce que l’on me servit et sombrais dans un sommeil agité où des méchants Noirs abusaient de moi sur un baobab.

L’arrivée à Roissy était nuageuse, pour le ciel et dans ma tête. Je passais mon minishort rose en éponge et après un grand remerciement à l’hôtesse, nous quittâmes la carlingue pour aller récupérer nos bagages. Le tapis roulant rejetait ...