Sophie à l'EHPAD (6) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (6)

... l’aéroport.

Il avait fait la route d’une traite. Nous dormîmes dans l’herbe et le petit matin, dans une station-service, je pris une douche rudimentaire et Gabrielle me passa mon minishort rose en éponge et le petit haut qui arrivait sous mes seins, fait dans le même tissu. Une paire de tongs rose et mon collier complétaient cette tenue que j’adorais.

Les mêmes agents des douanes nous reçurent, mais le vol était programmé et Gabrielle parlementa avec eux. J’étais sous leurs regards, plus nue que si je n’avais pas eu de vêtements.

Elle me filma dans l’aéroport, me posa même des questions, alors que la plus grande partie de ses films n’étaient agrémentés, au mieux, que par ses commentaires, voire ceux de témoins de la situation.

Au final, nous montâmes dans l’avion et au moment de passer le seuil de la carlingue, je fus accueilli à bords par un joyeux :

— Bienvenu Mademoiselle Sophie !

Je n’en croyais pas ni mes oreilles ni mes yeux : l’équipage était le même que lors de notre vol aller !

Le temps de gagner nos sièges, ma tête allait à cent à l’heure. Je me raisonnais en me disant que la compagnie était réduite en personnel et que ça expliquait la présence de cette hôtesse et de ce steward.

J’en étais là de mon raisonnement, quand l’hôtesse nous fit prendre des places en première à l’avant de l’appareil. Nous étions surclassées, nous dit-elle.

L’aubaine était grande et ça me rappelait mon grand-père qui disait que quand je voyagerais en business ...

... classe, la vie serait à moi. Je n’étais pas certaine qu’il pensait aux conditions présentes.

En tout cas, on nous attendait avec champagne et petits fours, dans des sièges en cuir où l’on aurait pu tenir à deux. Enfin, je parle de moi ! surtout que j’avais perdu du poids. Je ne devais pas faire plus de 40 ou 42 kilos maintenant ! Gabrielle était à l’aise et elle n’avait pas besoin de lever l’accoudoir entre nous pour récupérer de l’espace.

Le nombre de sièges en première classe était limité et le nombre de passagers à ces places encore plus. Bref, nous étions peu nombreux à profiter des petits avantages d’un billet qui devait coûter trois ou quatre fois le prix de la classe économique.

Je savourais ce système qui me plaçait socialement à un niveau élevé aux yeux des autres personnes dans cet avion. Les passagers montaient et je me tournai pour les voir, ou plus exactement pour qu’ils me voient comme une privilégiée.

Je remerciais mille fois l’hôtesse et étais prête à subir tout ce qu’elle voudrait de moi en échange de ce moment de grâce. Gabrielle qui avait filmé notre arrivée dans l’avion avait un air satisfait et je me disais que c’était peut-être elle qui avait manigancé tout ça.

Au moment de boucler nos ceintures, elle fit glisser mon short autour de mes pieds, libérant mon ventre et me rappela de cette façon que je lui devais obéissance et que dans ma position de bonne soumise, je devais disjoindre les genoux.

Bien sûr, l’hôtesse passa peu de temps après ...