Sophie à l'EHPAD (6) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (6)

... pour l’inspection et vérifia l’attache de ma ceinture frôlant ma poitrine et d’un coup s’égara sur ma fente. Un clin d’œil complice accompagna son geste. Je ne sais pas trop pourquoi, je le lui rendis en y ajoutant un sourire béat.

Je m’étonne de mes réactions parfois.

Un steward que je ne connaissais pas passa dans l’allée et eut un regard appuyé sur moi. Gabrielle lui sourit, je baisai la tête. Elle me disputa en me reprochant de ne pas sourire et m’avertit qu’elle en rendrait compte à Maîtresse Syl.

Comme elle me manquait ! et dire que dans quelques heures, je serais dans ses bras.

Après le blabla d’usage du commandant de bord, l’avion décollait, ma coupe de champagne et les petits gâteaux qui restaient se renversèrent, inondant mon siège.

J’avais les fesses au frais !

Le steward nous donna de quoi nettoyer et après quelques dizaines de minutes je m’assoupis dans le ronronnement des moteurs. C’est l’hôtesse de l’air qui me réveilla alors que Gabrielle dormait. Elle me prit par la main ; je voulais récupérer mon short, mais elle le saisit et le reposa sur mon siège. J’étais cul nu, juste mon petit haut. Elle me traîna par la main. Je passai dans l’allée et les autres voyageurs de première pouvaient se rincer l’œil en matant mes fesses.

Elle n’était vraiment pas gênée de me balader à poil devant tout le monde ! Elle cogna à la porte de la cabine et me fit entrer dans l’antre des pilotes.

Le commandant de bord et le copilote étaient ravis de ...

... m’accueillir pour me montrer les différentes commandes de l’avion. Ils étaient assis dans de profond siège et moi debout. De fait, ma chatte arrivait à hauteur de leurs yeux et l’hôtesse m’obligea à m’écarter en glissant un genou entre mes jambes par-derrière. L’automatisme me reprit et je m’écartais bien plus que la pudeur ne m’y autorisait.

Le pilote risqua un doigt puis deux dans mon vagin. L’index et le majeur faisaient une exploration systématique tandis que le pouce titillait mon clitoris. Je voyais les boudins noirs rentrer et sortir de mon antre en faisant un clapotis significatif. C’était étonnant de voir ces deux mandrins noirs pénétrer ma chair rose. J’aimais sentir me faire prendre, mais ce que j’adorais, c’était voir ce qui rentrait et sortait de mon corps. J’étais aux premières loges et mon plaisir venait autant de la masturbation que de le voir faire.

L’hôtesse derrière moi avait relevé mon petit haut et s‘était emparée de mes deux seins, triturant mes tétines rudement.

Le copilote lorgnait mes attributs et planta son regard dans mes yeux. Je trouvais excitant le fait que j’étais assaillie par deux personnes à la fois et que le troisième me matait en détail. J’en faisais des tonnes, mais en avais-je besoin ?

J’étais sous l’emprise des mains et de ma chatte qui dégoulinait. Le pilote avait les doigts trempés.

Je gesticulais comme un ver de terre, tant et si bien que je me retrouvais suspendu à l’hôtesse qui m’empêcha de tomber à genoux.

Mon orgasme fut ...