Sophie à l'EHPAD (6)
Datte: 25/10/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... chatte bien visible. Les deux devaient être copains, car ils se parlaient et avaient la ferme intention de profiter de moi.
Livrée à moi-même, une peur panique m’envahissant, je retournais vers le bassin. Heureusement, Josiane était là avec la serviette. Je me pendis à son cou en pleurant.
Mes nerfs étaient encore fragiles à cause de mon expérience chez les délinquants.
Elle me traita de grosse bête et me consola en me tapotant les fesses.
Le soir, dès que nous fûmes rentrées à la maison, Maîtresse Syl me fit lui faire un cunnilingus et je dus lui raconter notre après-midi à la piscine. Les deux incidents, celui du vestiaire des hommes et la perte de mon maillot lui plurent particulièrement.
Il dura au moins une demi-heure. J’avais son foutre sur toute ma figure, elle était prise d’orgasmes à répétition. Je buvais son jus de fille avec délectation : j’étais en manque de sexe et frustrée de ne pas avoir osé goûter aux deux hommes du vestiaire.
La soirée
La soirée entre filles nécessita une préparation de la part de Charles : lavement. Épilation et maquillage de la part de Josiane de mes tétons et de mes lèvres — les deux, celles du haut et celles du bas.
Mes vêtements étaient pour une fois plus couvrants que d’habitude.
Moi qui étais toujours nue, j’avais droit à un chemisier blanc, mais avec un généreux décolleté, une jupe courte évasée bleu marine et des chaussures fermées noires sur des chaussettes blanches.
Pas de sous-vêtements, mais ça ...
... faisait des années que je n’en portais plus.
Je crois me souvenir que c’est maman, sur l’instigation de mon grand-père, qui me défendit d’en porter. J’étais plus belle naturellement, disait-il. Il adorait regarder ma ‘’ fente du bonheur’’ comme il aimait à l’appeler quand ses amis étaient à la maison pour une partie de cartes.
Elle nous conduisit en ville, dans un immeuble quelconque. Nous croisâmes un des habitants dans l’ascenseur qui, croyant parler à des résidentes, nous entreprit sur le ramassage des poubelles. Josiane lui répondit avec humour que c’était moi qui devrais m’y retrouver dedans.
Ils rigolèrent tous deux, l’homme d’un certain âge répondit que ce serait dommage, belle comme j’étais.
Il n’en fallut pas plus à Josiane pour me faire tourner plusieurs fois sur moi-même afin que ma jupe se soulève.
Bien sûr, sans culotte, j’offrais au vieil homme de quoi se rincer l’œil. Nous sortîmes de la cabine au quatrième étage à son grand regret, car il aurait voulu savoir où nous logions.
Josiane sonna ; on lui ouvrit de suite. À croire que nous étions guettées de derrière la porte. Embrassades. Josiane me présenta aux deux femmes :
— Ma petite chienne particulière,
mais ne se donna pas la peine de me les présenter
J’étais estomaquée qu’elle ose dire de telles choses. J’étais la chienne de Maîtresse Syl et de Charles, mais sûrement pas la sienne. Non, mais !
Je me fis la promesse de le dire à Maîtresse.
— Et elle sait aboyer ta petite ...