Sophie à l'EHPAD (6)
Datte: 25/10/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... enfants qui en riaient.
C’est à nouveau enchaînée dans la case que je passais la nuit — plus calme que la précédente. La grosse femme veilla à ce que ma gamelle soit remplie d’eau. Elle écarta ma chatte pour regarder à l’intérieur ; je ne connaissais pas les raisons de ce genre d’intervention, mais je commençais à ne plus trop m’en préoccuper.
Le lendemain, je fus levée tôt et menée par deux hommes sur la grande place.
Ma chaîne fut détachée et je commençais à m’en réjouir. Mais ce n’était que pour mieux me lier au totem, les jambes écartelées de part et d’autre du poteau. Mes mains élevées au-dessus de ma tête étaient attachées à une protubérance du totem.
Face au bois, je ne voyais pas ce qui se préparait dans mon dos. Je n’attendis pas longtemps pour comprendre qu’un à un, ils me fouettaient avec une poignée de brindilles. Mes fesses poussées contre le totem, mes lèvres épousaient le bois tant et si bien qu’elles s’écartaient par force et dégageaient mon clitoris. Une petite bosse sur le totem, probablement une sculpture y trouva son utilité.
Je me frottais contre lui et en gigotant sous les coups, je jouis comme une furie, ce qui eut pour effet de stopper net les deux hommes. Je pendais au bout de mes liens tellement l’orgasme avait été fort.
Ils me traînèrent dans ma case où la grosse femme m’aspergea avec un seau d’eau.
J’eus droit de téter une chèvre avant de partir pour les champs. Je les croyais seulement chasseurs et cueilleurs, mais ils ...
... étaient également éleveurs et agriculteurs. J’eus le droit de marcher debout, mais les pieds enchaînés, ce qui, pour avancer, n’était pas l’idéal. Surtout qu’ils allaient vite avec leurs longues jambes, me traînant par ma chaîne. Ils portaient des outils avec eux.
Le vaste champ était recouvert de petites plantes à plusieurs branches. Les feuilles ressemblaient à du cannabis. Je compris vite mon erreur quand ils bêchèrent le sol. Il s’agissait de manioc. Ils me montrèrent comment faire.
J’enfonçai la fourche au pied de la plante et fis levier pour sortir la racine de terre. Je croyais innocemment qu’ils le feraient avec moi. Mais ils me regardèrent travailler en me donnant des coups de badines pour que j’aille plus vite. J’avais chaud malgré le début de matinée, ma peau ruisselait de sueur.
Ce fut vite un calvaire qui dura des heures. J’avais les mains pleines d’ampoules, les fesses zébrées des coups de badine cinglants. Je pleurais sur mon sort en maudissant mon choix de défis.
La fin arriva, trop tard pour moi, mais ils me ramenèrent au camp en me portant sur leurs épaules. Dans la case, je passais à la casserole. Ils me possédèrent tous les deux devant la grosse femme et je le vis plus tard, Gabrielle et sa caméra.
Elle me parlait pendant que les deux hommes me besognaient.
Elle me disait que ce n’était qu’un aperçu de ce que ses ancêtres avaient subi de la part des colons blancs.
J’avais bien conscience de la chose et tout en prenant plaisir sous les deux ...