Sophie à l'EHPAD (6)
Datte: 25/10/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... dans la caverne qui avait reçu le sperme d’un de mes camarades de sexe.
Mais la pauvre bête ne jouit pas pour autant.
Au retour au camp, la grosse femme me jeta des seaux d’eau. Je croyais l’eau rare en Afrique, mais moi j’y avais droit plusieurs fois par jour ! Elle entreprit de me laver avec des fibres sous l’œil de Gabrielle et de sa caméra qui m’obligea à lui raconter par le détail ma garde des chèvres et se réjouit de mon aventure. Tout en me faisant laver, ce qui était, on ne peut plus long, Gabrielle voulut entendre la fameuse chanson de Serge Lama sur l’esclave. Je décidais de la surprendre et commençais celle de Britney Spears :
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I’m a slave for you
Je suis esclave de toi
I cannot hold it, I cannot control it
Je ne peux m’en empêcher, je ne peux le contrôler
I’m a slave for you
Je suis esclave de toi
I won’t deny it, I’m not trying to hide it
Je ne le nierai pas, je n’essaie pas de le cacher
J’étais dans l’expectative. Allait-elle me punir ou bien être contente de cette nouveauté ?
Elle continuait à me faire chanter tout en me cravachant. La Noire attaquait le lavage de ma chatte et j’offrais au centre du village un drôle de spectacle. Les femmes s’étaient arrêtées de travailler pour me regarder, les hommes qui étaient rentrés de leur travail y assistaient également. Les chiens et les enfants profitaient involontairement du spectacle.
Une fois terminée ma douche improvisée en pleine nature, une jeune Malwienne me frictionna ...
... le ventre, geste en rapport avec ma constipation. Je sentais en effet que ses mouvements décongestionnaient mes intestins. Je pensais innocemment que je pourrais me soulager après.
Mais c’était son compter avec Gabrielle, qui à l’EHPAD était familière de ce genre de situation. Mais moi, je ne l’avais jamais fait en public ! Seule avec Charles, il n’y avait pas de problème, j’y trouvais même du plaisir, mais entièrement nue au milieu du village et de toute la population, j’étais complètement bloquée.
On m’installa accroupie sur une estrade improvisée faite de bûches. La jeune femme continuait à me prodiguer ses massages et je poussais pour me délivrer, car plus elle insistait, plus l’envie était grande. Mon collier de fer et la laisse me pesaient sur le cou.
Je me laissais aller en fermant les yeux et me libérai d’un étron colossal. Trois jours abstinence, c’était beaucoup ! Une rumeur s’amplifiait, tous poussaient des petits cris. Je ne savais pas trop s’il s’agissait de la joie ou de la surprise. Je voulais me fondre dans les rondins de bois sous moi, ou dans le sol, tellement la honte m’envahissait.
Mais là encore, je croyais être débarrassée, mais je dus ramasser ma crotte, la présenter au peuple en faisant un tour de la place et finalement m’arrêter devant le chef du village. J’avais peur qu’il soit scatologique et m’oblige à la manger, mais j’échappai à cette pratique et pus me défaire du ‘’cadeau’’ dans le bois derrière le camp, suivie par les chiens et les ...