1. Sophie à l'EHPAD (6)


    Datte: 25/10/2018, Catégories: Trash, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... langue.
    
    Une pose nécessaire leur permit de boire encore leur bouillie alcoolisée.
    
    Je ne savais pas que la zoophilie faisait partie de leurs mœurs, mais au final, je comprenais qu’isolés loin de chez eux, ils se satisfassent avec leurs bêtes.
    
    Le soleil tapait et je passais sous l’arbre protecteur. Ça n’avait pas l’air de les gêner : ils n’avaient aucune protection.
    
    Je somnolais avec en tête le secret espoir de jouir et ma main était partie à la découverte de mon clitoris. J’avais à peine commencé à me masturber les yeux fermés, que j’étais tenue paralysée au sol et que je découvrais le troisième homme qui était venu vers nous avec une longe en corde et au bout, le bouc qui lui arrivait à hauteur de la ceinture.
    
    Je remarquais que l’homme était resté nu, que sa bite allait de gauche à droite, suivant son pas. Le bestiau se laissait guider.
    
    Je sentis bientôt son museau humide entre mes cuisses.
    
    Ça me rappela le chat de ma voisine : j’étais descendue chez la vieille dame qui habitait au rez-de-chaussée pour jouer avec son chat. Un jour, il renifla ma culotte et lécha ma fente au travers du coton. Le lendemain, je descendis, mais sans culotte. Il me lécha tellement bien que j’eus des frissons. Sa petite langue râpeuse sur mes lèvres et sur mon clitoris me donnait du bonheur à chaque fois.
    
    Mais bien sûr, un jour, la vieille dame découvrit mon manège.
    
    Elle me fit la morale : les bêtes du Bon Dieu ne doivent pas connaître le sexe des humains.
    
    J’avais ...
    ... peur qu’elle me dénonce à mes parents. Mais c’était mal la connaître. Elle me punit en me faisant faire la même chose que j’avais fait subir au chat. Je dus sucer la petite bite du chat, ses couilles et son trou du cul.
    
    Je lui agitais le sexe pour faire sortir le bon jus du matou, c’était chaud, fade, mais peu abondant.
    
    Je ne remis jamais les pieds chez la vieille dame. À sa mort, je demandais à maman de récupérer le chat, mais malheureusement, un membre de sa famille l’avait déjà emporté.
    
    Une écorce d’arbre jetée sur mon dos servit à me protéger des sabots de l’animal. Le bouc donnait des grands coups maladroits sans pouvoir trouver l’entrée de mon trou, pourtant bien élargi par les trois hommes.
    
    Ils finirent par le guider de la main et je sentis une bite énorme, moins longue, mais beaucoup plus large que celles des hommes. Je ne tins pas longtemps avant de jouir. Je gesticulais pour aider le bestiau à lâcher son sperme et les hommes étaient ébahis par ma manœuvre. L’effet ne se fit pas attendre et mon vagin fut inondé d’un jus chaud et épais.
    
    On dit des choses étonnantes sur l’odeur du bouc, mais c’est très localisé à sa tête. On me fit le sucer et ce n’était pas pire qu’avec certains hommes. Par contre, je dus l’embrasser et là, l’odeur était terrible.
    
    J’eus la permission de boire du lait directement au pis de ma voisine la chèvre. Je ne m’y attendais pas, mais un des hommes, plus inventif que les autres, me fit gousser la chèvre.
    
    Je plongeais ma langue ...
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