Sophie à l'EHPAD (6) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (6)

... une crêpe, mais ne buvaient pas du lait. Ils avaient un bidon qui avait contenu de la lessive et qui était rempli d’une boisson jaunâtre, sûrement une bière locale.

Je me rappelais une espèce de bouillie alcoolisée obtenue à base de Malte mâchée par les femmes. La fermentation venait des bactéries de la salive.

Je m’étais allongée tranquillement, mon déjeuner pris à l’ombre d’un des rares arbres avec à mes côtés un chevreau qui se collait à moi. Il devait être en mal d’affection. Les hommes devenaient bruyants, le soleil et l’alcool aidant, je m’attendais à les voir se taper dessus.

Mais c’était moi qui étais la source de leur dispute.

Ils me relevèrent et me mirent à quatre pattes à côté d’une chèvre. Ils écartèrent ma chatte et celle de l’animal. Je compris qu’ils faisaient des comparaisons : couleur, forme, aspect. Ils ne s’arrêtèrent pas en si bon chemin et les bites se retrouvèrent libres de tout vêtement.

Ils étaient vraiment bien montés : longues, pas trop larges et d’un noir dont Pierre Soulage n’aurait pas démenti l’universalité. Leurs bites arrivaient à mi-cuisse.

Assez étonnamment, moi qui avais l’habitude d’être le centre d’intérêt, c’est la chèvre qu’ils pénétrèrent d’abord. Chacun la baisait et donnait ses impressions. Vint mon tour et chaque homme fit quelques aller-retour dans ma chatte et la discussion reprit bon train.

Après la bite, c’était le tour des doigts, je devrais dire des mains. Ils fouillaient le sexe de la chèvre, puis mon ...

... vagin fut envahi.

Toujours dans le même ordre ! il y avait sûrement une hiérarchie. Non contents de s’en tenir à nos chattes, ils s‘attaquèrent à nos culs. Je fus enculée — après la chèvre — et bénéficiai de son foutre pour plus de lubrification. Je pensais aux vaccins de Charles et je l’en remerciais de tout cœur. Les maladies devaient être très présentes dans ce fin fond de l’Afrique.

Ils étaient sérieux et c’est ça qui m’étonnait le plus. Le fait d’être en compétition avec une chèvre était assez étonnant et ça intriguait également un autre animal, qui près de nous, profitait du spectacle.

Les hommes ne cherchaient pas vraiment leur plaisir, mais bien à établir un tableau comparatif.

Leurs doigts fureteurs s’en prenaient à nos tétines et je dois dire que d’un point de vue de la réaction, je gagnais haut la main. Ils étaient d’ailleurs d’accord pour le reconnaître, aux expressions qu’ils avaient sur le visage après nous avoir testées.

J’obtins ma seconde victoire avec ma bouche. Il y avait un risque évident pour leur bite, à la fourrer entre les lèvres de la bestiole, alors qu’avec moi, c’était du velours et j’en fis jouir un en le masturbant tout en l’avalant jusqu’à la garde. J’étais barbouillée de sperme et léchais tout ce que je pouvais. Un autre était dans ma chatte et ne tarda pas à venir en voyant son copain décharger dans le cul de la chèvre. Au final, j’étais considérée comme le lavage automatique et c’est les trois bites que je dus astiquer avec ma ...