Sophie à l'EHPAD (6)
Datte: 25/10/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... je confectionnais. Est-ce que mon grand-père le savait ? ça restera un mystère pour moi. Je me jurais quand même de demander à ma mère si elle était au courant.
Prince me fit asseoir et je vis dans ses yeux, derrière la caméra, que Gabrielle ne comprenait pas ce qui se passait.
Il prit une ficelle et la lia à mon pied, la passa derrière mon cou et revint me lier le second pied avec l’autre bout. Je me tenais seule, les jambes écartées et renversées en arrière sans tomber. Je me dis que les Africains avaient un sens de la pratique très développé. Mes mains déliées, je les posais à plat sur le sol derrière moi.
J’offrais une ouverture maximale et Prince cracha dans ses mains pour enduire sa bite. Il ne me regarda pas et s’introduisit en écartant d’une main mes petites lèvres qui lui faisaient barrage. Il s’enfonça doucement dans mon ventre chaud et humide.
J’avais eu peur d’un coup violent qui m’aurait déchirée tellement il était monté comme un cheval — et je savais de quoi je parlais !
Je sentais son sexe voyager au fur et à mesure dans mon vagin pour au final cogner contre ma paroi la plus lointaine. Ma grotte était habitée, remplie, pleine, occupée. Je jouissais sans mouvement, sous ses yeux ébahis.
Il me travaillait par petits coups saccadés qui me faisaient haleter. Mon souffle à peine repris, il recommençait et me menait à l’orgasme, mais ce n’était pas mon plaisir qu’il cherchait.
Il augmenta la cadence et la force de ses coups de reins et finit ...
... par jouir dans mon ventre. Sa bite ressortie, j’en pris sur le ventre, les seins et ma figure.
Il se tourna pour s’essuyer. Gabrielle l’arrêta et prit son sexe en main pour le présenter devant ma bouche.
Sûrement n’avait-il pas l’habitude de se la faire laver par la bouche de celle qu’il venait de baiser.
En Europe, c’est quasiment inévitable ! Je suçais cette belle queue couleur ébène avec plaisir et lui fit un nettoyage total avec une feuille de rose comprise. Je récupérais du sperme sur mes seins pour me lécher le doigt et le principe de Charles revint à la mémoire de Gabrielle qui prit la lame d’un couteau pour racler sur ma peau les gouttes de sperme de Prince et me les faire sucer.
Prince était impressionné et défit les ficelles qui tenaient mes jambes en l’air et écartées.
Je mangeai dans une gamelle avec les mains attachées autour du cou, mes couettes évitaient que mes cheveux ne traînent dans les aliments. Je lapais l’eau dans une coquille de noix de coco.
Ma position était pour le moins provocatrice, car mes fesses étaient en l’air et mes genoux, écartés pour garder l’équilibre, ouvraient grand mes orifices.
Nous nous allongeâmes ; j’étais près du feu entre mes deux compagnons, face vers Prince qui s’endormit rapidement, ce qui ne fut pas notre cas. La nuit dans l’avion nous avait perturbées grandement. Le décalage horaire jouait peu.
Gabrielle ne put s’empêcher d’utiliser de la cravache en enfonçant la partie plate du cuir dans ma fente ...