Sophie à l'EHPAD (6)
Datte: 25/10/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... avions près de 250 kilomètres à faire depuis Mponela.
Il faisait chaud et sec, j’étais secouée comme une marchandise à l’arrière du véhicule dont les suspensions n’étaient plus qu’un vague souvenir.
Après deux heures de route, la nuit commençait à tomber et la température à baisser.
Prince décida qu’il fallait s’arrêter et camper près de la piste, dans un bois d’épineux. Il y avait un peu de matériel à bord de la jeep.
Gabrielle me fit descendre de la voiture et m’attacha à un arbre avec la laisse, pas à une branche, mais à une racine à fleur de terre. Du coup, je me tenais à moitié allongée sur le sol.
Prince sortit trois matelas minces de la jeep, mais Gabrielle en accapara deux et Prince dut ramasser des feuilles pour me faire une litière comme une esclave aurait eue pour dormir remarqua Gabrielle.
Elle avait sorti de ma valise la cravache qu’elle portait à la ceinture et le martinet dont elle frappa sa cuisse, comme pour tester les lanières de cuir.
Prince avait fait un feu de bois pour chauffer le contenu d’une casserole qui, à l’odeur, n’avait rien d’engageant.
Je fus détachée de la racine. Mes mains déliées de mon dos l’étaient à nouveau à la hauteur de mon cou, sur ma nuque. Je fus mise à plat ventre sur un rondin ce qui faisait ressortir mes fesses et Gabrielle attacha mes chevilles à chaque extrémité d’un morceau de bois et lia mes cuisses à mes mollets. Mon intimité était livrée aux regards de Prince qui passait les doigts dessus, mais ...
... surtout au martinet de Gabrielle.
Mes seins étaient frappés par l’écorce de l’arbre à chaque mouvement de mon corps.
— Chaque soir, l’esclave qui avait le moins travaillé de chaque chambrée recevait le fouet. Ce soir, c’est toi la paresseuse qui n’a pas ramassé suffisamment de coton.
Elle commença à me frapper sur les fesses et rapidement mon entrejambe fut la cible des coups. Les lanières s’incrustaient dans ma fente béante et touchaient mon clitoris énervé. Elle passa le relais à Prince qui, non content de viser les mêmes endroits sensibles, visait également mes pieds et mon dos.
Il était en eau à force de me punir et j’étais trempée à force de mouiller de plaisir. Gabrielle jouait avec mes seins, bien que ceux-ci fussent en partie écrasés sur le tronc d’arbre rugueux.
Détachée, je me retrouvais à genoux devant Prince qui avait enlevé le collier de son cou pour l’enrouler autour de son sexe. Il le serra fortement et commença à se masturber sous mon nez. Gabrielle penchée vers moi agaçait mon clitoris.
Je voyais naître sous mes yeux une nouvelle bite : le roulement des perles dû aux allers et retours le long du sexe le faisait grossir dans des proportions affolantes.
D’un coup sec, au bout de deux minutes, Prince ôta le collier et je découvrais un engin qui avait doublé de volume : au moins 6 centimètres de diamètre et 25 ou 28 centimètres de long !
Je comprenais la présence de cet objet bien que, petite fille, je ne connusse pas cet usage des colliers que ...