Sophie à l'EHPAD (6) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (6)

... sexuelle, la partie cylindrique du manche suivait mon chemin anal.

Au petit matin, je m’éveillais pour constater que Prince avait réanimé le feu et mis de l’eau à bouillir ; Gabrielle dormait encore. Je me levais pour satisfaire une envie présente. Prince réapparut et insista pour me regarder faire pipi, mais pas n’importe où.

Il avait choisi le bord de la route où un camion en panne regroupait plusieurs hommes qui le réparaient.

Je m’accroupis, mais c’est Prince qui détermina la position idéale à prendre pour régaler les deux hommes en contrebas.

J’avais du mal à démarrer pour libérer ma vessie et c’est un coup de cravache de Gabrielle, arrivée discrètement dans mon dos, qui me fit lâcher mon jet.

Prince et les deux hommes applaudirent : peut-être n’avaient-ils jamais vu de femme, blanche de surcroît, pisser devant eux. Je pensais que j’en étais quitte pour cette honte, mais Prince décida de mettre sa main sur ma chatte pour contenir et lâcher ma cascade de pisse en faisant trembler mes lèvres.

Nous retournâmes à notre campement, mais pas trop près du feu. La chaleur du soleil se faisait déjà sentir. La vie se réveillait et les insectes volaient, des oiseaux chantaient. C’était un rien bucolique ! J’en oubliais presque ma situation d’esclave.

Prince avait préparé une sorte de café amer et des fruits inconnus de moi. Une coque de noix de coco était remplie de miel qu’il avait ramassé de bon matin, délicieux cadeau de la nature.

Je trouvais Gabrielle de ...

... mauvaise humeur : ses remarques et son exaspération envers moi étaient palpables.

Elle parlait avec Prince et il attrapa pour m’attacher à deux épineux, mes poignets d’abord et mes chevilles ensuite. J’étais écartelée, ouverte et offerte. Je pensais à une séance de martinet ou de cravache. C’est vrai que ça commença de cette façon, mais ce n’était que pour passer les nerfs de Gabrielle et réveiller mon corps. Le but était tout autre. Prince m’enduisit abondamment les parties sensibles — chatte et seins — de miel.

Ils prirent tous deux du recul, Gabrielle l’œil fixé à sa caméra et Prince reluquant sans cesse ma chatte entrouverte.

Il ne fallut pas attendre longtemps avant de voir arriver, mouches, abeilles et autres insectes volants.

Je sentais mille pattes et frôlements d’ailes sur mes attributs.

Mon ventre était envahi de centaines de démangeaisons, des insectes rampants montaient le long de mes jambes. Il n’aura pas fallu plus de cinq minutes pour que je sois couverte des pieds au cou de bestioles peu ragoûtantes qui picoraient le miel et ma peau.

Je criais, plus d’effroi que de douleur. J’étais habituée à recevoir quelques insectes, mais jamais autant à la fois ! Gabrielle armée de son martinet chassait les bestioles, tandis que Prince se servait de la cravache.

Ils partirent aussi vite qu’ils étaient venus et c’est à une inspection minutieuse que mes deux accompagnateurs se livrèrent pour débusquer les bêtes restantes. Bien sûr, ma chatte et mon trou ...