1. Sophie à l'EHPAD (6)


    Datte: 25/10/2018, Catégories: Trash, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... recevoir ; il se masturba devant ma figure avant de m’enfourner sa bite au fond de la gorge.
    
    En même temps qu’il faisait l’amour à ma bouche, il tiraillait sur mes tétines.
    
    Il se retira de ma bouche pour me plier sur le tabouret, face à Gabrielle, et me baisa sans aucune retenue. Il m’enculait de la même façon et Gabrielle me dit de tirer la langue, d’ouvrir grand les yeux, alors que j’étais en train de me faire défoncer.
    
    Il me retourna dans un geste rapide pour lâcher son sperme sur ma figure. Ses couilles vides, il essuya son sexe sur ma langue que Gabrielle m’avait demandé de sortir.
    
    Elle me donna à manger, mais je restais nue et les mains liées dans mon dos. Le chauffeur se restaurait et buvait du dolo, un alcool local.
    
    Je remontai dans le minibus, assise entre le chauffeur et Gabrielle, autant dire coincée.
    
    Le long levier de vitesses arrivait entre mes cuisses et ma chatte recevait à chaque changement de rapport et coup de la boule du levier. Il n’était pas un doux ! À la fin de notre route, j’avais le clitoris en feu, à force des coups reçus.
    
    Gabrielle m’inspecta à la descente du minibus, elle en bas et moi encore sur le siège. Elle m’écarta les lèvres devant lui et les personnes qui étaient présentes à notre arrivée.
    
    Nous retrouvâmes notre chauffeur avec la voiture réparée. Il s’agissait d’une vieille jeep anglaise avec la conduite à droite. Notre homme se prénommait Mélina, ce qui voulait dire prince nous précisa-t-il.
    
    Gabrielle décida que ...
    ... je devais l’appeler ainsi et lui rendre les hommages comme à un roi.
    
    C’était un grand jeune homme de 23 ou 24 ans en short kaki, avec un maillot de corps qui avait été blanc, troué dans le dos, une paire de scandales et surtout, chose improbable, un collier de perles en plastique autour cou, des perles de toutes les couleurs.
    
    Elles me rappelaient le collier que mon grand-père me faisait faire quand j’étais petite fille et quand je m’ennuyais le mercredi à la maison lorsque maman était au travail. Ça évoquait un tas de souvenirs en moi.
    
    Mais je me demandais bien pourquoi un collier de pacotille ?
    
    Elle expliqua au Prince que j’avais été méchante et que j’étais punie, ce qui justifiait ma tenue.
    
    Il était ravi de la situation et remercia Gabrielle de ne pas m‘habiller, parce que mon trou tout rose était plaisant à regarder. Il parlait bien français, mais avec un fort accent maghrébin.
    
    Je montais à l’arrière de la jeep, ma laisse attachée au montant de la voiture. Prince me couvrit d’un chapeau de brousse, contre les coups de soleil. Il resta un bon moment à me regarder et Gabrielle en profita pour m’écarter les cuisses et les lèvres avec ses deux mains pour que notre chauffeur puisse en voir plus, avant de ce qu’il pourrait peut-être posséder. Je mouillais comme une folle. Le coup de bite du chauffeur de minibus m’avait laissé un goût d’inachevé.
    
    Nous devions rejoindre un village situé entre Nkhotakota et la réserve Wildlife, pas très loin du lac Malawi. Nous ...
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