1. Sophie à l'EHPAD (6)


    Datte: 25/10/2018, Catégories: Trash, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... genre aéroport de province avec une seule piste et deux portes d’embarquement. La zone est désertique tout autour. Quelques taxis-brousse et motos attendent les rares clients.
    
    Gabrielle au téléphone se démenait, mais rien ne semblait se passer comme elle voulait. Notre chauffeur n’était pas au rendez-vous.
    
    La voiture était en panne à Mponela et nous devions trouver un moyen de transport jusqu’à cette ville — en espérant qu’à notre arrivée, notre chauffeur et la voiture seraient en état de nous conduire à notre point de destination, plus au nord.
    
    Gabrielle trouva un homme avec un minibus trafiqué, qui accepterait de nous y conduire : une soixantaine de kilomètres à faire pour Mponela. Le chauffeur n’arrêtait pas de me mater tout le temps des palabres pour le tarif. Gabrielle, qui n’était pas sotte avait compris qu’elle devrait me mettre dans la transaction pour que ça aboutisse.
    
    Elle me faisait lever les bras pour que le chauffeur puisse voir ma poitrine, ce qui le décida à accepter de nous conduire pour un prix raisonnable.
    
    Les bagages dans le coffre de l’antique minibus Volkswagen, moi sur l’une des banquettes arrière perpendiculaires à la circulation et Gabrielle sur le siège avant, nous partîmes sur la route, puis la piste pour rejoindre Mponela.
    
    Gabrielle me parla enfin de l’origine de sa famille et du départ des esclaves du Malawi. C’est nus qu’ils étaient emportés vers les bateaux négriers du détroit du Mozambique et de là vers les Amériques.
    
    Le ...
    ... voyage depuis les forêts se faisait à pied, enchaînés les uns aux autres par des cordes autour du cou et les mains liées derrière le dos.
    
    La poussière de la piste rentrait dans le minibus par les fenêtres aux vitres inexistantes. Nous avancions lentement à cause des trous causés par les fortes pluies.
    
    Le chauffeur s’arrêta en milieu de chemin : il était l’heure pour lui du déjeuner.
    
    Un simple abri de bois et de tôle faisait office de cantine. On y vendait un plat fait de poulet bouilli et de patates douces.
    
    Gabrielle me descendit du minibus en tirant ma laisse. Elle avait décidé qu’il était temps pour moi de remplir mon contrat et me lia les mains dans le dos. Elle dénuda ma poitrine en roulant ma robe autour de ma taille.
    
    La femme qui tenait la cantine nous fit asseoir sur des bidons d’essence coupés en deux qui servaient de tabourets. Notre chauffeur était à notre table, si on pouvait donner ce nom à l’espèce de roue en bois posée sur quatre rondins.
    
    J’étais dépoitraillée et ça lui plaisait visiblement ; il s’insinua sous ma jupe. Gabrielle laissait faire, me rappelant que nombre de filles avaient été violées avant d’arriver à destination. Ce qui se passait ne semblait pas inquiéter la femme de la cantine qui regardait d’un air impassible.
    
    Gabrielle mangeait et moi je me faisais mettre à poil devant elle.
    
    Le Noir avait sorti son sexe et il me fit m’accroupir de force devant lui. J’entendais le bruit de l’appareil photo. J’ouvris ma bouche pour le ...
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