Sophie à l'EHPAD (6)
Datte: 25/10/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... rien trouvé.
Gabrielle donna son accord. Ils me firent mettre à quatre pattes sur le bureau pour que la fouille soit réglementaire, dirent-ils. L’homme plus gradé que les autres — si j’en croyais le nombre de barrettes dorées sur son uniforme — rejeta les gants que lui tendait la femme des douanes.
Il introduisit deux doigts dans ma chatte et deux dans mon trou du cul en même temps.
Je sursautai et poussai un « aïe » de rébellion. Gabrielle saisit le martinet et m’en asséna plusieurs coups sur le dos et les seins. Je repris le mode chienne et aboyai deux fois.
Je vis aux têtes des douaniers qu’ils ne s’y attendaient pas, mais trouvaient ça très drôle.
La femme dut comprendre ma détresse et m’enduisit les orifices de vaseline. C’était froid, mais ses mains étaient douces. Elle m’enfonçait le produit bien dans mes conduits maintenant grands ouverts.
Le gradé montra aux autres comment faire. Sous ce prétexte, il se régalait de mon corps de petite blanche.
Il enfonçait ses doigts et les tournait, soi-disant à recherche de drogue. En fait, il me masturbait tout bonnement devant tout le monde. J’eus un mouvement de recul, mais Gabrielle m’expliqua que si je me rebellais, ils me mettraient en prison. Ils étaient corrompus et il fallait mieux être d’accord avec eux.
Ils voulaient juste s’amuser un peu.
En guise d’amusement, c’est la totalité des personnes présentes qui me tripotait et essayait les différents objets que contenait ma valise. J’étais ...
... fouettée, passée au martinet, pincée, enculée et baisée par les différents godes de ma valise.
Mon vagin distendu recevait en même temps que mon rectum le gode en forme de bite de chien. Je ne le connaissais pas. Sûrement un cadeau de Maîtresse Syl.
Mes seins, compressés avec les fameuses pinces plates de Charles, me faisaient mal, car l’homme qui les avait posées les tournait et tirait dessus. Mon clitoris n’était pas oublié et subissait lui aussi les assauts de la femme douanière. Je n’étais qu’un objet dont on se servait.
Les sex-toys passaient dans mon corps et ma cyprine les humidifiait à merveille. J’arrivais à jouir à plusieurs reprises.
Gabrielle donnait un spectacle dans lequel je jouais la chienne en chaleur. J’exécutais moult figures et aboiements de circonstance. Le travail plus que l’envie de continuer rappela les douaniers à leur devoir, par interphone interposé. Ils durent nous laisser repartir.
J’étais déçue de ne pas avoir eu de contact physique avec les hommes ou la femme présents.
On sortit de l’aéroport Kamuz. Gabrielle tenait ma laisse à la main et sa valise de l’autre. J‘avais l’impression que tout le monde me regardait, moi, seule petite Blanche, perdue dans un monde hostile avec ma robe qui laissait voir mon corps offert.
Les hommes de ce pays étaient grands et fins, alors que les femmes, grandes également, étaient grosses.
L’aéroport de Lilongwe ressemble à une construction des années 50 : un bâtiment tout en béton, droit, à un étage, ...