La belle Hélène
Datte: 24/10/2018,
Catégories:
fh,
amour,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Auteur: Lacducoucou, Source: Revebebe
... deux, le « tu » et la pente :
— J’ai un dernier aveu à te faire.
Elle relâche sa pression, me dévisage et repart d’un petit rire :
— Je suis tout ouïe.
— Viens !
Elle m’obéit, silencieuse. Je n’ai pas à la mener loin, la porte est ouverte. Sur le seuil, je regarde la chambre, puis la regarde, elle :
— Tu me suis ?
— Où tu voudras, jusqu’au paradis s’il le faut. Et c’est quoi, ton aveu ?
Je la fais entrer, l’amène au bord de mon grand lit conjugal de célibataire. Je prends son visage entre mes mains, lui colle un baiser d’oiseau sur les lèvres et murmure :
— J’ai un fantasme.
— … Dis-moi.
— J’ai toujours rêvé de « pousser la porte du jardin d’Esméralda ».
— Pardon ? La quoi ? De quelle Esméralda parles-tu ?
— Esméralda, c’est toi, et tu es encore plus belle que dansNotre-Dame de Paris.
— Et… le jardin ?
— … Sous ta jupe.
Le velours de sa voix :
— Tu es sûr que je peux faire confiance au jardinier ?
— Ne dis plus rien…
Je la pousse doucement contre le lit auquel elle tourne le dos. Elle s’assied sur le bord. Je pose mes mains sur ses épaules et l’invite à s’allonger sur la couette. Elle reste étendue, ses pieds touchent le sol. Elle ne bouge plus. Je me redresse – Hélène,Hélène, si tu savais combien de fois j’ai rêvé à pareil moment. Elle me regarde, les yeux mi-clos, lèvres entrouvertes. Elle attend.
Je me mets à genoux et la déchausse. Je caresse l’extérieur des chevilles et paumes ouvertes, remonte doucement sur cette ligne de crête. ...
... Je passe sous la jupe, Hélène ne se rebiffe pas. Mes mains arrivent aux hanches et les englobent. La peau est lisse, le galbé parfait d’un corps consistant et chaud. Je m’attarde sur ses hanches, avant de revenir aux genoux. Et remonter, derechef, doigts et pouces bien écartés, mais cette fois-ci à l’intérieur de ses cuisses tendres qui s’ouvrent autant que la jupe le permet. Mes doigts arrivent à son slip. Elle tressaille. J’effleure, je frôle, j’exerce des pressions ; d’un doigt, je griffe la culotte le long du sillon, puis je serre les lèvres l’une contre l’autre à travers le tissu en les roulant pour coincer le bouton caché sous les chairs. Il s’échappe, je le reprends, je le stimule à nouveau.
Hélène se tortille et geint. Mes mains retournent vers le zip de sa jupe et je la lui enlève avec fébrilité. Son corps est une invite. Une taille fine, des hanches bien dessinées, un ventre rond qui mène au bombé voluptueux du mont de Vénus, colline magnifique que le tissu de sa culotte épouse parfaitement et met d’autant en valeur. Ma tête plonge, je mordille. Ah ! Le coton ! Il a un goût divin, une senteur enivrante. Mon Esméralda a fermé les yeux. Je la vois, les bras en croix sur le lit, qui commence à serrer de plus en plus fort la couette entre ses doigts. La fièvre monte encore d’un cran. Je continue à la mordiller, à la mettre en transe.
Lorsque je la sens au bord de l’explosion, je me relève un peu pour mieux savourer le tableau qui va s’offrir à moi. Du pouce et de ...