1. Une conversation surprise, et tout change


    Datte: 08/02/2018, Catégories: fh, fhh, couplus, cocus, inconnu, vacances, forêt, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, Partouze / Groupe confession, cocucont, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... de Laurent, gland large, massif sur une hampe courte mais large et noueuse. Ici rien que de la finesse. Même les veines sont peu marquées.
    
    Du bout de la langue je touche le gland totalement décalotté. Le goût est plus prononcé dans l’arrondi de sa liaison avec la hampe, mais c’est une odeur de sexe. Je commence à me sentir perturbée de cette vision et de mes attouchements. Lorsque je l’embouche, creusant les joues et libérant un flot de salive, j’ai la nette impression que quelque chose coule dans mon minou. Je suis surprise de cette réaction si rapide.
    
    Laurent, où es-tu ? Ne veux-tu pas voir ta femme se comporter comme une vicieuse, trouvant déjà du plaisir à pomper une bite inconnue ? Ma bouche descend le long de la tige, lentement afin que mon amant en sente la progression, mais déjà le gland heurte le fond de ma gorge. Mais je sais comment faire : respirer à fond, saliver beaucoup et redescendre, gagner quelques millimètres et vaincre le réflexe. Une fois. Deux fois. Trois fois. Avec Laurent, j’arrive à toucher ses couilles. Ici, impossible ; il est trop long.
    
    J’abandonne un instant, laissant ma langue glisser sur la queue et découvrir les couilles. Je les lèche comme une cochonne. Je descends encore, encore un peu plus. Là, l’odeur est plus forte, l’anus n’est pas loin. Une autre fois.
    
    Je ne sais ce qui me prend, mais soudainement j’ai envie de goûter à nouveau à ce bâton encore plus raide. Ma bouche est une gourmande qui aspire à nouveau. Je suce, je lèche, ...
    ... je pompe. Chaque va-et-vient est un bonheur. Éric gémit de plaisir. J’ai envie de goûter à son plaisir. J’accélère. Mes lèvres le branlent. Ma chatte coule et j’ai envie de me caresser pour jouir, mais je me retiens. Je veux qu’il vienne. Je veux qu’il jouisse dans ma gorge. Je veux goûter à son nectar. Je veux pouvoir comparer avec celui de mon mari. Car c’est bien ce que veut un mari partageur : voir sa femme sucer, pomper, et surtout boire le foutre de l’amant d’un soir.
    
    — Arrête, je vais jouir, dit Éric alors qu’il se recule pour s’extraire de ma bouche.
    
    Faut-il si peu de chose pour qu’une femme comme moi se transforme en cochonne qui ne sait même plus se contrôler ? Trop de danse. Trop d’alcool. Et cette idée stupide de Laurent. Laurent, où es-tu ?
    
    Éric m’aide à me relever et me cède la place sur le lit. La couche est ferme, mais c’est un vrai bonheur que de s’y allonger. Bonheur aussi de voir et aussitôt sentir mon amant entre mes cuisses. C’est à son tour de pousser de ses mains. Mais lui me tend deux doigts pour que je les suce. Je sais où il veut en venir et je n’attends que cela. Je suis brûlante de partout.
    
    La jouissance est quasi instantanée lorsqu’il aspire mon clito et me branle avec ses doigts. Instantanée et inattendue. Normalement, il me faut plus de temps. Toute la soirée mon subconscient attendait et se rassemblait pour cet instant. Je coule, et mon nectar doit venir embaumer la bouche d’Éric. Il continue malgré mes soubresauts, appréciant sans ...
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