1. Une conversation surprise, et tout change


    Datte: 08/02/2018, Catégories: fh, fhh, couplus, cocus, inconnu, vacances, forêt, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, Partouze / Groupe confession, cocucont, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... mes tétons. Mon pubis se frotte au sien.
    
    Une pensée me retient encore : Laurent. Ou est mon mari ? Je ne comprends pas qu’il ne soit pas venu. Peur de me perturber ? Peur finalement d’avoir du mal à voir ce qu’il a imaginé ? Éric doit voir que je cherche autour de moi.
    
    — Je ne le vois pas non plus. Mais rassure-toi, il surgira lorsqu’il le décidera. Il est peut être juste derrière ces feuillage. Il doit attendre le bon moment. Comme c’est votre première fois, il veut te laisser le champ libre. Mais j’ai un moyen infaillible de le faire venir.
    — Lequel ? ne puis je m’empêcher de lui demander.
    — Suce-moi. Les maris ne peuvent résister à ce spectacle.
    
    Sans vraiment attendre mon assentiment il va s’asseoir sur le bord du lit. Il est devant moi. Il attend. Il a sûrement raison. La fellation, c’est ce que Laurent adore, comme beaucoup d’homme sûrement. La seule queue qui a franchi la porte de mes lèvres, c’est la sienne.
    
    L’herbe est un coussin moelleux pour mes genoux. Je pose mes mains bien à plat sur ses cuisses en appui de l’aine afin qu’il s’ouvre encore. Mes mains ! Elles ne sont là que pour cela. Pas question de m’en servir. C’est ma fierté de faire juter Laurent sans l’astiquer autrement que par ma bouche.
    
    J’embrasse son nombril et descends lentement. Il transpire, et les gouttelettes se font plus nombreuses à mesure que je descends. J’arrive à l’orée de la toison ; il n’est pas épilé, et cela me surprend. Je pensais que tous les jeunes l’étaient. Mais ce ...
    ... n’est pas désagréable, au contraire ; le duvet est doux et sent bon. La tige est une invitation, et j’y dépose un baiser, puis un autre, puis encore un autre, découvrant un parfum pour homme associé à celui de la transpiration. C’est délicat, et comme je craignais une odeur trop forte, j’apprécie que mon amant soit attentif à ses partenaires.
    
    Elle frémit et j’adore cette sensation de découverte. J’arrive tout en bas de la tige et je dois me contorsionner pour aller découvrir l’extrémité. J’ouvre la bouche et aspire afin d’en tirer le gland. Je découvre que la peau recouvre entièrement l’extrémité et qu’elle forme même une sorte de cratère où le méat se cache. Je retrouve l’odeur caractéristique des premières gouttes qui en suintent. Chez Laurent, le gland, plus large, plus puissant, est pratiquement toujours dégagé. Ce qui lui donne une sensibilité particulière à mes léchages.
    
    Ici, rien de cela. Enfin je sens que la tige bouge. Elle est moins molle, elle se tend. Je sens la peau se retirer comme la mer le fait pour dégager le sable. Je joue de ma langue pour découvrir la délicatesse de cette peau si fine et si délicate. Mais je dois reculer. Elle se tend de plus en plus. Elle monte, et ma bouche la suit. En quelques secondes supplémentaires, la queue est verticale, presque collée contre son ventre.
    
    Je l’abandonne un instant, curieuse de découvrir le miracle sans cesse renouvelé. Elle est longue mais étroite. Fine et profilée comme une flèche. Rien à voir avec le bâton ...
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