1. Une conversation surprise, et tout change


    Datte: 08/02/2018, Catégories: fh, fhh, couplus, cocus, inconnu, vacances, forêt, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, Partouze / Groupe confession, cocucont, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... doute ma générosité.
    
    J’ai de la chance. À son âge, mon mari était moins délicat et à l’écoute. Le monde a changé. En bien, pour une fois, pour le plaisir des femmes. Pour mon plaisir.
    
    Les étoiles scintillent et la lune est le témoin de mon plaisir. Mais c’est un autre témoin que je souhaitais. Déjà j’entrevois qu’Éric déchire un emballage de capote et qu’il va s’en revêtir.
    
    Laurent, où es-tu ? J’ai beau regarder à gauche et à droite, tu n’es pas là. Tu me manques. C’est pour toi que je suis ici. C’est toi qui as tout organisé. C’est vrai que depuis, je trace mon chemin et que le plaisir en fait partie. Laurent, où es-tu ?
    
    — Mais je suis ici, dit une voix derrière moi.
    
    Je ne pensais pas avoir parlé à haute voix mais juste pensé.
    
    — Je suis là. Tout à côté.
    
    Maintenant je sens son souffle contre mon oreille. Il y dépose un baiser.
    
    — Mais tu n’étais pas là au début.
    
    Son visage est tout contre le mien.
    
    — Oh que si. Pour rien au monde je n’aurais raté… J’étais caché… Tu te souviens : ombre parmi les ombres…
    — Alors…
    — Alors j’ai vu ma coquine de femme se prendre au jeu et sucer son amant avec une gourmandise qui m’a confirmé dans mon idée.
    — Tu as raison, je suis une salope. C’était si bon que je voulais goûter son jus. Tu te rends compte !
    — Mais c’est magnifique, au contraire. Je suis si fier de toi. Je t’aime, mon amour.
    — Moi aussi je t’aiiiiii…
    
    Ma voix déraille. Je perds mon souffle. Éric est entré en moi. Sa queue coulisse si facilement ...
    ... dans mon vagin que déjà il en trouve le fond. Il est gros. Il est fort. Il est surtout si long que son gland découvre des régions inexplorées par Laurent. La sensation est parfaite. Prise, occupée, possédée mais en douceur.
    
    Je retrouve mon souffle pour lâcher un « Ahhhh » de contentement alors que j’écarte les jambes pour mieux en profiter.
    
    — Ça va, Lise ? me dit une voix lointaine.
    — Oui, oui… C’est bon… Il… Je sens sa…
    
    Mais c’est trop difficile à exprimer. Les mots se bousculent alors que mon amant commence son doux barattage. Il s’empare de mes jambes pour les écarter encore plus et les tenir verticales devant lui. Maintenant j’ai l’impression qu’il avance encore plus profond. Chaque avancée est nouvelle. Chaque recul une angoisse.
    
    — Ohhhhh !
    
    Des mains se sont emparées de mes seins. Elles les maltraitent, et je reconnais la dextérité de Laurent pour solliciter mes tétons en les tordant. Je me sens pleine, le centre du monde, objet de toutes les attentions.
    
    Éric me baise avec de plus en plus de force. J’entends – et je sais que les voisins aussi – le claquement de ses muscles tendus sur mes fesses. Et que dire de ce clapotis, signe que ma chatte est une grotte inondée de mouille et de salive où le piston s’active ?
    
    — Lise, ça va ? s’inquiète mon mari de me deviner inerte sous les coups.
    — C’est trop bon… Oui… Il me prend très profond… Embrasse-moi. Embrasse-moi.
    
    Son baiser est un souffle de perversité qui déclenche ma jouissance. Je jouis autant par ...
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