Police polissonne (45) - Histoires de Sexe

Police polissonne (45)

... et fait le même constat et dit.

— Pour moi c’est bon, reste les deux derniers à l’extrémité de la table ; comme on est trop loin, vous nous montrez ?

Aussitôt Simon et Romain se lèvent et pour le plus grand plaisir de tous ; ils exhibent leur phallus en érection.

— Cool, et vous savez, histoire de vous chauffer un peu ; vous devriez manger tous les six la bite à l’air.

Les garçons s’exécutent, et c’est avec la ceinture du pantalon glissé sous leurs couilles et donc tout le matos à l’air qu’ils continuent leur repas. Les filles surprises mais ravies de leur réaction continuent leur jeu en y ajoutant quelques palpations phalliques à leurs voisins les plus proches ; quant au plus éloigné, c’est leur voisin direct qui s’en charge. C’est donc la bite à l’air et raide comme un bâton qu’ils ressortent du restaurant et regagnent la chambrée.

— Allez, à poils les mecs ! dit Sonia en déshabillant Myriam.

Elles s’enlacent aussitôt, s’embrassent corps contre corps, sein contre sein, et pubis contre pubis. Les garçons n’en ratent pas une et commencent déjà à se sucer la bite pour le plus grand plaisir des filles qui n’en ratent pas une miette. Pour encourager cette troupe de mâles en rut elles sautent sur la table et se lancent dans un 69 effréné, elles lèchent leurs moules baveuses ; puis elles descendent de la table et présentent leur cul aux garçons qui ne se font pas prier pour les enculer ou les pénétrer normalement. Pour terminer, Myriam entonne la chanson de « ...

... La chenille ». Elle se place en tête, présente son cul se laisse prendre par le premier des garçons qui se laisse à son tour sodomiser ; Sonia ferme ma marche et à l’aide d’un gode ceinture encule Olivier. Tous chantent et la soirée se termine dans une belle orgie.

Au petit matin, la sonnerie au clairon du « Branle-bas » réveille l’équipe. Le sergent entre dans la chambrée et s’exclame :

— Allez, debout ; que je vous donne le programme !

Pour ce dernier lever tous sortent entièrement nus de leur lit, et comme tout mâle qui se respecte ; les garçons bandent dru. Les filles s’étirent comme des chattes en offrant à tous les jolis spectacles de leur corps marqué par les plis des draps trop raides, et de leur chevelure ébouriffée ; ce qui leur donne un charme fou.

— Eh bien, je vois que ces messieurs ont la forme, et les filles toujours aussi craquantes, s’exclament le sergent en souriant.

En effet, qui n’apprécierait pas un tel spectacle. Son regard est attiré par les filles et surtout Sonia qui a remis tous ses piercings. Ils échangent un regard qui en dit long sur les sentiments qui les habitent, Sonia à envie de plonger sur le sergent, de lui défaire son pantalon, de le sucer pour qu’il la prenne une dernière fois. Mais il y a les autres qui ne sont pas au courant de ce qu’il s’est passé entre Sonia et le sergent pendant la semaine de vacances.

— Bien, je vous attends en tenue de combat, sans paquetage pour les couleurs ; et si vous voulez bien de moi je vous ...